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Ex-æquo Donnie Darko

Retour vers le Futur c'est certainement le film le plus culte possible, qui fait preuve d'une imagination débordante, d'un nombre de petits détails absolument hallucinant qui nous laisse le plaisir de découvrir de nouvelles choses à chaque visionnage. C'est un film qui offre sa propre vision du voyage dans le temps, qui réinvente le teen-movie, qui créait les personnages parmi les plus attachants que le 7e Art ait pu avoir.
Un pur film de science-fiction, avec la machine la plus cool du monde dans l'une des plus belles bagnoles existante, des musiques dansantes, entraînantes au possible et un nombre de répliques cultes incalculables.

Mais au-delà de ça, on peut voir en Retour vers le Futur l'histoire d'un ados tout ce qu'il y'a de plus classique, perdu dans une famille qui ne lui ressemble pas quelle soit riche ou pauvre, qui cherche à s'évader, à vivre une aventure.

Retour vers le Futur c'est un film qui me vend du rêve rien qu'en y pensant, rien qu'en entendant son nom, d'une énergie géniale, un objet de pop-culture comme on n'en fait plus. Un film intemporel qui, 30, 40 ou 50 ans après, reste et restera d'une fraîcheur incomparable.

Et quand la fin arrive, c'est avec tristesse que l'on dit définitivement adieux à Marty, Doc et Einstein, mais surtout, merci pour tous ces moments.

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Ex-æquo Retour vers le Futur

Sûrement la plus grosse claque que j'ai eu devant un film, voir le générique, rester bloqué avec Gary Jules qui chante en fond sonore, ému devant les deux heures que l'on a passé.

Donnie Darko c'est un mélange de thèmes divers, une histoire magnifique, parfois drôle, parfois lancinante et parfois terrifiante, c'est un condensé d'émotion, une expérience qui ne se vit qu'une fois, les revisionnages n'étant jamais aussi fort que le sentiment de première découverte. Il en devient alors un souvenir parfait, sans fausse note, un film exceptionnel et mystérieux avec Jake Gyllenhaal en premier rôle et surement toujours son meilleur.

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Jamais les rapports Humains n'auront été traités aussi bien que dans Arrival, s'il démarre sur un postulat simple et déjà vu, le talent de Denis Villeneuve vient chambouler tout ça pour en faire une oeuvre splendide, intimiste et d'une rare intensité.

Pendant 2 heures je suis resté émerveillé devant ce film, mes yeux écarquillés devant les images sublimes, mon ouïe prise à partie par le travail sonore et surtout mes émotions mise à nues devant l'histoire de cette mère, son mari et sa fille. Arrival est la plus grande expérience que j'ai pu vivre au cinéma, à la fin du film un homme derrière moi à dit en chuchotant "ça c'est un vrai film de science-fiction", il a raison.

Arrival est beau, puissant, intelligent, sensible et émouvant, c'est une claque.

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Ma rencontre avec le cinéma de Nicolas Winding Refn, Drive est une oeuvre esthétique fabuleuse, la beauté des plans, la musique de Cliff Martinez, le générique, l'amour des personnages, le mystère dont le Driver s'entoure et l'ambiance lancinante qui se dégage du film en font quelque chose d'unique, en opposition avec la violence éprouvante dont il peut parfois faire preuve. Tout est fait pour aboutir sur un trip en dehors du temps qui se laisse admirer les yeux grands ouverts.

Drive est un film calme et poétique qui rend la moindre action spectaculaire, c'est un film marquant dont les images resteront à jamais gravées dans ma mémoire.

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Alors que les décors sont réduit au minimum, la narration, elle, est au maximum.
Quand Lars Von Trier dans son Dogville aborde des thèmes comme le viol, l'amour, le mensonge ou la vengeance, ça donne un chef-d'oeuvre d'intensité extrêmement touchant qui fait remettre en question à la fois les décisions, mais également l'amour que l'on porte aux personnages. La fin m'a mise une claque, c'est un monde qui s'écroule, une femme qui a perdu toute sa sensibilité et qui se rabaisse aux horreurs qu'elle à subit, mais comment lui en vouloir ? c'est là tout le questionnement du film, tiraillé entre l'envie de revanche et celle de l'humanité.

"Dites lui que vous arrêterez si elle arrive à ne pas pleurer"

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La naissance du maître Tarantino, un style propre, tout en langage, en dialogue, en musique, en violence surtout. Avec sa narration non-linéaire et son aspect film noir / gangster revisité, Reservoir Dogs nous offre une aventure d'une petite heure et demie sous tension quasi permanente, mais pourtant ultra fun et décomplexé. Sans oublier le monologue de Tim Roth et cette caméra qui l'analyse sous tous les angles.

Reservoir Dogs est un stop dans le temps pour nous raconter l'histoire de petits gangsters dont le casse a mal tourné et en un seul premier film, Tarantino pondait son premier (et clairement pas dernier) chef-d'oeuvre.

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Terminator 2 c'est de l'action pur jus, survoltée, jouissive, ultra rythmée, visuellement impeccable avec cette révolution des effets spéciaux, mais aussi avec son histoire qui va plus loin que juste tirer au shotgun dans un méchant (avec beaucoup de classe faut l'avouer), c'est aussi la relation entre un enfant et un père qui n'est pas le siens, avec une mère prête à tout pour sauver le monde plus que son rôle de mère.

Et surtout c'est tellement de scènes cultes, celle du bar avec la musique de George Thorogood, celle de la poursuite en moto, les fameux "Come with me if you want to live", "No problemo" ou "Hasta la vista, baby" !

James Cameron termine son Terminator avec la meilleure suite possible, heureusement qu'Hollywood n'en a pas profité pour en faire une machine à fric...

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Ce film est merveilleux, passionnant, intriguant, l'histoire de ce vieux samouraï qui ne demande qu'une seule chose, qu'on écoute ce qu'il a à dire. Et autant dire que je l'ai écouté, avec intérêt même, tout se déroule lentement, installant ainsi une tension folle, les corps tombants un par un derrière Hanshirô Tsugumo pour finalement finir par lutter contre un système créant un véritable choc, une apologie tant attendu et à la hauteur des espérances.

Harakiri est un grand Film.
(et puis cette affiche quoi, c'est magnifique)

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La relation unique entre deux personnes, les liens qui se tisent jusqu'à n'en faire plus qu'une, les questionnements d'une artiste et ceux d'une infirmière, deux opposées qui se soignent l'une et l'autre, mise en scène à travers une photo sublime et une réalisation d'exception qui laisse une zone d'ombre entre rêve et réalité. Persona c'est le désir de se rapprocher de l'autre, une oeuvre dense à l'ambiance unique, à la musique oppressante et aux mystères de l'expérimentation. Sublime.

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L'errance d'un homme seul, perdu dans son taxi entre les buildings de New-York, amoureux d'une belle blonde et révolté par la violence de la nuit. Je me laisse prendre au jeu, celui de suivre De Niro, de le voir se transformer physiquement et laissant place petit à petit à sa folie, à ses traumatismes, je me laisse être passager dans l'oeuvre la plus brillante de Martin Scorsese.

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Pusher premier du nom était déjà un film excellent grâce à son ambiance et son univers, mais Pusher 2 le surpasse en tous points. Si le milieu dans lequel il évolue est sensiblement le même, c'est le propos et l'émotion que le film dégage qui l'élève au rang de chef-d'oeuvre. Tonny n'est pas franchement le genre de perso que l'on aime bien, mais son évolution est telle que plus on avance, plus on ressent ses faiblesses émotionnelles et sa tristesse intérieure. Et lorsque vient une scène particulière dure et touchante avec son père, le film prend une nouvelle ampleur jusqu'à l'apothéose lors de la scène finale.
Masterpiece

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Django Unchained est l'essence même du blockbuster réussi. J'ai une affection assez particulière pour ce film qui a longtemps tenu les marches du podium de mon top 10, c'est avec ce film que je me suis vraiment intéressé au cinéma, que j'ai lâché les films de "consommations", de "divertissement" sans saveur pour voir des choses plus profondes, plus travaillé, avec un vrai sens de la mise en scène, des oeuvres avec de véritables visions derrière. Si avec le temps mon affection passe un peu, c'est parce que, grâce à lui, j'ai pu vivre des expériences encore plus incroyables, ce qui est certain c'est que ce film restera toujours gravé en moi.

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Même chose que pour le 1, avec peut-être même encore plus de détails à trouver. La vision du futur, bien qu'assez idéaliste, à anticiper pas mal des technologies que l'on a aujourd'hui, c'est une suite non-prévu, mais totalement réussie qui réinvente l'intrigue du premier pour en faire quelque chose dont les rapports avec le temps sont plus complexe, mais toujours d'une parfaite logique, et pour un film de 1989, c'est très fort.

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Si Reservoir Dogs représente pour moi la nature même du cinéma de Tarantino, autant dire que Pulp Fiction est très proche du niveau de ce dernier. En fait je n'ai pas grand chose à dire sur Pulp Fiction, c'est un film à l'intrigue ultra prenante, à la réalisation d'exception, aux dialogues cultes et plus jouissifs les uns que les autres, rien n'est à enlever, le film est parfait comme il est et à marquer à jamais l'histoire du cinéma.

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Toy Story est la représentation de l'enfance la plus belle que je peux imaginer, l'enfant qui s'amuse avec ses jouets, qui développe un lien fort avec un objet pourtant banal je trouve ça magnifique, parce que moi-même j'ai toujours été très nostalgique avec ça, quand vient le moment de choisir lequel garder, lequel mettre à l'écart, ça parait tout con mais c'est tellement difficile.

Toy Story représente une part d'innocence que l'on a tous eu un jour, c'est un film universel qui traversera les âges et les générations sans jamais perdre de sa splendeur et ce malgré les nouvelles technologies dont sont bien trop vite accros les enfants d'aujourd'hui.

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Gran Torino, au-delà d'une histoire de bagnole c'est surtout une histoire touchante entre un vieux raciste et un jeune Hmong, chacun va découvrir qui est vraiment l'autre, passé par-dessus les clichées et préjugés pour offrir un film d'une beauté saisissante. Ça va bien plus loin que dire "le racisme c'est mal, finalement on est tous pareil", ici il y a autre chose, ce sont les adieux d'un vieil homme affaibli physiquement, mais qui ne lâchera rien pour offrir un dernier exploit, c'est magnifique, puissant et bouleversant.

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Film incroyable avec un Sean Penn méconnaissable et une fin magnifique.

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Blade Runner 2049 est une expérience de cinéma, c'est presque un trip tant l'ambiance nous transporte dans un autre monde. C'est un film d'un niveau de qualité hallucinant qui maîtrise sont sujet de bout en bout en allant au maximum de ses immenses ambitions.
Mais c'est en plus la suite d'un film mythique dont personne n'aurait eu le droit de toucher, sauf Denis Villeneuve, le désormais grand Denis Villeneuve, celui qui prouve à tout Hollywood qu'avec une vision, on peut créer des chef-d’œuvres d'une perfection sidérante.

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Sublime film sur l'amour où tout parait réel, les relations, le sexe, la tristesse, le désespoir. Adèle Exarchopoulos est absolument parfaite.

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Cette fin bordel.

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Le crime était presque parfait, le film lui, l'est !

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Mais quel claque ! Refn en maîtrise total de son film et Elle Fanning vraiment géniale.

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Tarantino, encore et toujours

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Forrest Gump fait rire et pleurer, le film est magnifique, la fin est magnifique, tout est magnifique.

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En revoyant ce film je me rends compte qu'il s'attarde bien plus que je ne me souvenais sur l'humain, ce sur (romancé) Mark Zuckerberg qui cherche à se venger, à montrer ce qu'il vaut. Malgré son caractère méprisant je lui trouve une certaine sympathie, ou du moins de quoi m'identifier à lui et à ses répliques cinglantes, l'apogée étant la réponse sur l'attention de l'avocat. Le final est vraiment fort je trouve, celui qui devient l'une des personnes les plus importantes de la planète et qui ne cherche finalement qu'à réparer l'erreur qui lui aura coûté sa copine.

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Le meilleur film de Lynch, rempli d'indices, de théories, de mystères.

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Parce que j'aime beaucoup les films mindfuck et que je déteste les araignées. Gyllenhaal et Villeneuve fonctionnent très bien ensemble !

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Fan de Spidey, ce film est pour moi le meilleur film Marvel jamais sortie, Octopus est vraiment bon, la psychologie de Parker est bien étudiée et le final est vraiment génial.