VU (parfois même en entier)

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friendship is magic
https://www.senscritique.com/serie/my_little_pony_les_amies_c_est_magique/412145

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JUNK-E

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les oignons poussent aussi au pied des arbres, merde à l'agriculture industrielle

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Carrie - Dark Phoenix - Requiem 2006
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/serie-les-fantomes-de-l-hysterie-histoire-d-une-parole-confisquee

https://www.senscritique.com/film/woodlands_dark_and_days_bewitched_a_history_of_folk_horror/44878118
Pouvoir potentiellement illimité de transformation de la réalité - changement de paradigme et réécriture de l'histoire pour passer du patriarcat au matriarcat - flirte avec la psychose/folie ; la manipulation charismatique ; nature versus technique ; panthéisme/animisme versus monothéisme

Thelma pourrait rentrer dans la liste folk horror, même si (allers-retours) il se passe justement principalement dans un environnement urbain montré comme aliénant (trajet dans le couloir d'immeuble filmé de l'extérieur à distance, individu insignifiant dans la masse architecturale uniforme) et oppressant (le bâtiment massif de l'opéra et ses intérieurs en béton nu ?)

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Fury - New Mutants (encore une fois, Chris Claremont inspiré comme Alan Moore par le cinéma et la littérature de genre)

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la lune de jupiter

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Rio Man, Rioman, Riiiiioman

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La mise en abîme renvoie le style artificiel de Anderson aux décors de théâtre. Refus du diktat du réalisme propre au cinéma. Jeu avec les références qui évacue le réel pour ne se rapporter qu'aux clichés, symboles, signes d'une époque - les personnages transitent entre le factice des figurines, le jeu des acteurs, les jeux d'enfants et les rôles sociaux - les trois fillettes-parques-grâces-etc.? déguisées en sorcières ou vampires ou fée, les acteurs qui écrivent leurs propres rôles en mimant le sommeil (évocation de l'écriture automatique des surréalistes?) Et jouent des acteurs jouant des acteurs.
Les inventions renvoient à l'imaginaire techno-futuriste impérialiste de l'époque - fusil laser, jet pack, billboard lunaire, engrais surpuissant qui empoisonne les végétaux... la recherche de pointe, financée par l'armée, modèle la société (à une époque où les classes moyennes supérieures mâles prisaient le modélisme comme loisir d'intérieur)
Notre monde est la boîte à jouets d'un ''complexe militaro-industriel'' mégalomane.

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Sur une idée de Topor : malheureux en amour...
''Un prêtre pugiliste''

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Les FF repetent leurs formules et celles de la comedie romantique avec suffisamment de variations originales pour satisfaire un souci d'humour et de relative fraîcheur- la situation-superposition absurde et realiste a la fois, les bons dialogues, que demander encore ?

Adopté du livre de Nick Hornby (sur sa relation amoureuse avec l'équipe d'arsenal - deja adapté par un film anglais) par Lowell et Babaloo, co-auteurs de Splash et autres classiques.
''By day's end, Ben had become one of god's most pathetic creatures : a Red Sox fan'

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Re-vu et moins décevant car j'en attends moins des frérots après x déconvenues. Ils jouent avec les,codes, les persos sont des archétypes, bon... mais les dialogues ne sont pas souvent droles, les seconds rôles guęre marquants...

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Gare au Turc à tresse et jupette !
Ici, les moines tibétains des annees vingt organisent des tournois où l'on se bat à mort pour un dragon d'or. La vérité historique est enfin rétablie dans ce film probablement produit par l'office du tourisme chinois.

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FLASH GOGOL

Acteur horripilant jouant un imbécile brinqueballé dans une intrigue éclatée, effets spéciaux bouillonnants, Le The Flash réunit tous les atouts pour devenir le premier film DC culte. Je ne sais pas si les razzie awards existent encore, et s'ils s'abaissent à considérer les films de supéros, mais il ferait un candidat à la victoire sans égal.

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.. quand il pète n'est pas sous influence flagrante de l'expressionnisme allemand, même si la photo est très belle, et les compositions d'inspiration romantique (?). Jeu des acteurs principaux remarquable. Plein d'idées en font une oeuvre "séminale" - j'ai même reconnu le jeu de l'aveugle dans un plan, qui sera parodié dans Toxic Avenger !
Pourtant l'intrigue s'embourbe. Le trope de l'orphelin aux origines aristos donne un semblant de trame et de satire des classes dirigeantes. A la réflexion, le personnage le plus abouti est la blonde corrompue : sorte de collectionneuse de curiosités (cf le singe), elle s'intéresse véritablement à Gwynplaine, et la révélation de ses origines aristocratiques devient pour elle deux fois ironique : puisque son apparence extériorise le caractère monstrueux de sa caste.
Un film incontournable pour les amateurs de fantastique.

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Je connais un peu un gars qui ferait un parfait Beria - sans avoir envie de le connaître plus, bizarrement. L'évidente star du film. Les femmes ont dû se ruer dans les salles.
Une galerie de tueurs entre lâche, fou, sadique, tous magouilleurs... Mais peut-être en deçà de la truculence russe vodka-induced - la photo glaçante ne rendant pas ça plus rigolo.
Une satire du niveau du grand cinéma italien tout de même.

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Invraisemblable sans fantaisie, farfelue sans drôlerie, cette dystopie qui montre l'ascension politique du fils présumé de Staline en Australie ne dit rien et ne va nulle part. Un film de petit malin qui se voudrait intelligent et subversif mais surtout creux ? Péter Duncan tournera quelques films ratés avant de lancer une paire de séries encensées - à voir.

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Le scénario de Park Chan-wook a probablement été remanié pour intégrer tous les clichés des films de Hong Kong : romance entre un bellâtre et une danseuse, gunfights chaotiques et mouvements de gym aéronautique, nostalgie à la guimauve et mépris pour la moindre description du contexte social ; un comble dans un film sur des activistes anarchistes.

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ETHOLOGY IN THE US
film anarcho nihiliste - qui rappelle L'homme des hautes plaines, d'Eastwood

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Les torts causés se sont accumulés, et ils continuent - les disparitions de femmes "natives" , la pollution des rivières, de nos jours.

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Un des plus pénibles films à thèse qu'il m'ait été donné de voir à la vitesse X3 (j'ose pas imaginer la torture de le voir en salle). Oui, tout le monde veut qu'on se souvienne de lui après sa mort, d'autant plus s'il n'y a ensuite que le néant, et les gens ont bien le droit de croire à n'importe quoi si ça leur apporte un réconfort.
Mais ce film (supposément basé sur une histoire réelle - cf les photo N&B au générique de fin) était supposé relever du registre de la comédie, et il est juste chiant et répétitif, même pas capable de filmer les paysages.

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Une comédie répétitive et pas drôle. Le coup des couvercles de poubelles hantées, OK. La seule bonne idée : le mec possédé par sa femme décédée, qui sort une clope de sa bouche et se met à parler comme un docker. Excellent. Le reste, chiant.

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J'ai toujours eu tendance à confondre (à juste titre) Wenders et Jarmush, mais ce dernier a réussi quelques petits films, alors que Wenders est systématiquement en dessous de tout. Il réussirait à rendre chiant un combat entre jet li et un kangourou. La preuve, il a eu la palme d'or.

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'' if you're gonna hack off my Dick just do it, and I'll change my name to Terry or Lee or something neutral!
- Is this your dick ?
- No it's mine!''

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''Easy virtue'' - jeu de mot sut ''petite vertu'' et ''il est facile d'arborer les apparences de la vertu'?
Opposition entre dynamisme , mécanisation , émancipation féminine, vie urbaine, et tradition, sens des responsabilités envers la famille et la communauté... ce qui ne recoupe pas exactement l'opposition entre nouveau et vieux continent, mais ce n'est pas l'angleterre industrielle, commerçante et bancaire qui est dépeinte ici - seulement le capital foncier.

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Le batifolage entre les tombes du cimetiere juif de Prague préfigure le thème central de l'aveuglement devant une réalité sordide (et le film Eyes wide shut, ainsi que le theme central d'American gods) :
'' les plus âgés sonnent le tambour. Les jeunes vont au combat. Nous tiendrons les renes du pouvoir dans le monde aussi longtemps que certains seront prêts à se sacrifier, prêts à verser leur sang. Alors rien ne doit changer. Nos pires ennemis sont les amoureux de la liberté. Nous les détruisons. Nous devons asservir les gens libres pour garder notre pouvoir. Nous avons besoin des jeunes pour nous maintenir en vie. Ils doivent devenir comme nous. Ils doivent penser comme nous. Les rebelles seront sacrifiés. ''
On ne peut faire la part, dans le récit kafkaien, de la métaphore et de la représentation d'une réalité. La fable politique est les deux à la fois. C'est la représentation d' un monde créé par les hommes après tout, pas d'une réalité donnée et livrée à la libre interprétation parce qu'elle ne manifesterait aucune intention en se contentant d'être.

(la vf est encore plus infernale : son saturé, voix atroces, texte parfois sans rapport avec les sous-titres - et ''perpétrer '' au lieu de perpétuer ; harpe doublée par un sitar et des tablas - la guitare de la v.anglaise est moins flagrante)

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Une nostalgie moins prétentieuse que celles de tarnatino ou pt anderson, par quelqu'un qui sait écrire un scénario de surcroît, et avec des personnages dont on a envie de suivre les pérégrinations. Ils ont la gnake comme les cons d'anderson, mais ils restent sympathiques - in fine.

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Le générique de ce film d'exploitation putassier (mention spéciale à la chasse à la blanche dans le désert) néanmoins assez ennuyeux est interprété par Woody Woodpecker.

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L'équivalent de plusieurs fois la dette globale du continent africain a été cachée par se "élites" dans des paradis fiscaux.
L'île britannique ayant concentré son économie sur l'activité financière, sa population se divise donc entre des très riches se souciant peu du prix des marchandises importées, et une masse vivant dans des clapiers.

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L'Ami de Mrs Chatterouillée

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Autant de talent au service d'un film navrant, compilation de scènes adressées alternativement aux amateurs d'humour, de danse, et de chant (j'ai cru qu'il datait des années 30, car cet enchaînement de numéros de music hall est la tare des films des Marx bros). La comédie musicale de l'age d'or , modèle des films ''massala'' indiens, qui semblent n'avoir pas évolué d'un pouce sur la forme ni le fond (mariage avec un aristo), reflets d'une Inde sociologiquement sclérosée.
Mention speciale aux plans séquences et à la scène techniquement innovatrice (mais chorégraphiquement pauvre) de la danse aux murs et au plafond (système qui serait repris dans Les griffes de la nuit) .

''Nous voulons nous marier!
- Je pensais que vous étiez frère et soeur?''