Vus au ciné en 2013

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Gaumont Wilson, Toulouse

Les effets spéciaux sont dégueulasses et ça sent un peu trop la resucée du SDA mais je crache pas sur l'esprit plus décontracté et forcément rafraîchissant.

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Utopia Toulouse, janvier 2013

"Les hommes sont tous des gros porcs, faut leur faire payer !". Chiant et criard. Dans le style, pas trop éloigné d'un "Bas-Fonds". Une idéologie féministe assez abjecte à peine dénigrée. Une fin ubuesque : "regardez, c'est une rebelle, normal qu'elle rejoigne le Che !".

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UGC Wilson, Toulouse - février 2013

ZzZzZzZ... "Blablablablablablabla...Abolir l'esclavage...Blablablablablablabla" ...ZzZzZzZZ
Sinon l'acteur principal surjouait par rapport aux seconds couteaux, eux dans un style plus contemporain qui contrastait un peu trop. La scène de discussion avec deux soldats dans un campement militaire boueux, de nuit, illustre très bien cette remarque.

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Gaumont Wilson, Toulouse - février 2013

Compilation de tous les précédents Tarantino (hormis Jackie Brown peut-être) avec un côté longuet pour faire auteuriste. Peu de scènes cultes (hormis celle du Klux Klux Klan, qui ressemble plus à du Monty Python) pour un patchwork difficile à digérer (la scène du fouet au ralenti, l'assaut final dans la maison entre Kill Bill et Scarface...). Christoph Waltz ressort, comme d'hab', et heureusement j'aurais envie de dire...

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Gaumont Wilson, Toulouse - février 2013
Un film d'action qui ne se prend pas au sérieux et qui ma foi reste divertissant. L'antithèse de Des hommes sans loi.

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Utopia Toulouse - février 2013
En résumé : l'Occident c'est le bien, l'Islamisme, c'est le mal. J'ai trouvé le message politique un peu trop appuyé, à l'inverse d'Une Séparation qui s'avérait plus fin.

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Gaumont Wilson, Toulouse - mars 2013

Entre 7 et 8 mon coeur balance. J'ai été assez subjugué par la narration entremêlée et la force de l'univers, riche ; mais je suis également quelque-peu rebuté par ce côté boursouflé qui pourrait cacher une escroquerie au scénario, comme on arnaque à l'assurance.

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Gaumont Wilson, Toulouse - mars 2013

Le cinéma français, dans la cour américaine. Petit, comme notre Président d'antan.

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Gaumont Wilson, Toulouse - mars 2013
Une première partie qu'on boit comme du petit lait, puis un dégradé de couleurs jusqu'au caca d'oie et la sortie de route. Un comble pour un film de biker chevronné.

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Lux, Caen - avril 2013

En résumé : tous les pires malheurs s'abattent sur cette jeune fille. A noter que la plus méchante des femmes est aussi la plus apte à dresser Popol.

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Utopia Toulouse, mai 2013
Beaucoup de beaux plans, de bonnes idées, mais un côté "NRA" trop racoleur pour accrocher. Pour faire un film cool, il faut des armes, mais ça suffit pas. Alors on mettra de la poésie, pour faire un peu hipster, genre on s'la joue Lars Von Trier, mais ça ne trompe pas non plus. Finalement Stoker est un peu trop confus (au début) et un tantinet verbeux pour un banal trhiller où la psychologie est importante mais pas essentielle.

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Gaumont Wilson, Toulouse, mai 2013

Film clichouille formaté "teen-movie". Qu'il soit proche ou non de l'original, il se prend trop au sérieux par rapport à ses qualités intrinsèques peu nombreuses. Les persos sont fades, tous typés, et leur profondeur, pour 1 et demi d'entre eux, n'apparaît que trop tardivement. Heureusement, et c'est rare, la fin remonte le niveau, en s'appuyant sur un twist final inattendu, et assez exaltant. "Raining Blood !"

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Utopia Toulouse, mai 2013
Malgré un voisin nasal qui a confondu son lit et la place publique, j'ai plus qu'apprécié.
Très propre, poli, mouvementé et posé, chorégraphique et poétique, avec une histoire "originale" (ne provenant d'aucun bouquin) en plus de ça... de l'Art, tout simplement.
Un poil trop long peut-être, et un interstice final inutile, qui semble rapiécer les "chutes de studio", mais je chipote.

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Lux, Caen - mai 2013
7,5/10

Encore un vieux qui prenait la salle pour son salon, à base d'expressions nasales extrêmement agréables lors des scènes silencieuses, et battant le rythme lors des scènes d'action.
Sinon grand moment, malgré un scénario récupéré au SIRTOM. Jeux de lumière somptueux, pauses nécessaires et pas lassantes, univers crédible bien que très fantasmé...
Dans la salle, tout le monde est venu seul avec son ego, tout le monde a vibré seul pour le beau petit minois amoché du minet ou les parties de charcuterie du condé, c'est selon, et finalement tous sont repartis seuls, le nez dans leurs chaussettes. Boum. Mach 3 silencieux.

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Café des Images, Caen - mai 2013

Ah ah ah. Quelle bonne blague. Hip-Hop à biatchs (Jay-Z producteur, plusieurs de ses morceaux + reprise de sa meuf etc.) + années 30 = film en folie pour fans de Projet X et de Titanic. Une sorte de compromis pour les cinéphiles ascendant bourgeois, les pétasses qui cherchent l'Amour, et les Kévin qui kiffent la vibe avec les babes auprès d'une pool. Que c'est beau et cool d'être riche et d'y aspirer, en pleine crise (d'on ne sait trop quoi en fait, à force d'utiliser le terme à tort et à travers), alors que se creusent les injustices et les inégalités sociales. Moi ça m'fait rêver toutes ces paillettes, j'en verserais mon porte-monnaie entier. Faut dire que Cannes m'avait bien conditionné aussi...

Sinon la réalisation "carton-pâte" gavée d'effets numériques dégueux (Benjamin Button, je te salue) ne rattrapait pas vraiment le scénario qui était... digne d'un conte. Normal, ni plus ni moins, pour une adaptation de Fitzgerald.

Gatsby c'est un peu la mise en abyme de la popularité des acteurs Hollywoodiens : Di Caprio surpassera toujours en charisme et en points "fame" le petit Maguire, pas assez rital pour faire ronronner de la donzelle, pas assez de pedigree pour faire bander du producteur. C'en est tellement confondant qu'on se demande parfois si Di Caprio ne joue pas son propre rôle d'usurpateur, puisque finalement de J. Edgar à Gatsby, le registre n'a pas vraiment évolué...

Sinon, suffit juste d'être en couple et d'échanger des regards complices avec son/sa partenaire pour apprécier, je pense. Après tout, l'amour est aveugle, et débile.

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Utopia Toulouse - juin 2013

Je me suis endormi... :/
Assez lent, mais ça me déplaisait pas ; j'étais juste trop fatigué. Trop peu de dialogues et d'action pour avoir ma dose de caféine.

C'était un peu trop noir sur gris mais bon... La photo était assez belle et l'atmosphère remarquable.

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Gaumont Wilson - Toulouse, juin 2013

Un moment sympathique un peu trop consensuel mais agréable. Le seul "hic" réside en cette histoire de "rédemption", comme si le Black n'était qu'une affaire d'égoïsme adolescent qui disparaît nécessairement à mesure que les années passent.
Preuve en est, les musiciens commencent réellement à prendre plaisir (ça se voit sur leurs gueules) à jouer quand ils pratiquent la pop. On ne quitte donc pas les clichés sur ce genre de musique, bien que le traitement soit plus mature et documenté que dans la plupart des autres films : on n'évite pas les "c'est le plus grand festival Heavy Metal de France" (dixit le Hellfest) et les mélanges de chapelles en faisant passer pour du Black ce qui s'apparente parfois à un truc thrashy/power ou en mêlant posters d'Epica et de Gorgoroth dans une même chambre. Bien que Gaahl ait fait son coming-out, en général ce sont deux publics bien différents...

Bref, ce film "rock" reste au-dessus de la moyenne mais ne côtoie pas les hautes sphères, malgré de bonnes idées (l'animation psyché/metal au début et à la fin, notamment).

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Gaumont Wilson - Toulouse, juin 2013

Steal my money ! Cf. la critique.

Je me méfierai davantage des vieux à l'avenir, qui m'ont gâché plus d'un film par leurs bavardages intempestifs ou leur respiration sonore en mode sieste.

A part ça, j'aime tout l'monde.

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Gaumont Wilson - Toulouse, juillet 2013

Bonne surprise ! Alors que le 1 m'avait déplu de par son comique trop prégnant, celui-ci m'a davantage satisfait, même s'il fait preuve de beaucoup de classicisme. Tous les ingrédients du film de SF/Action y sont réunis pour passer un bon moment ; et en plus de ça c'est ni trop sérieux ni trop con. Le curseur est à un point idéal pour ce genre de films : ne pas trop se prendre au sérieux pour éviter le décalage entre l'invraisemblable - qui peut très vite sombrer dans le ridicule - et la solennité du ton qui incombe à toute narration un tant soit peu construite.

Si j'étais pas un connard je lui mettrais 7.

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Gaumont Wilson - Toulouse, juillet 2013

Exercice de style très savoureux, avec beaucoup de cynisme et une vision acerbe du futur, qu'il concerne le cinéma hollywoodien, nos rapports à la technologie, nos rapports entre êtres humains et finalement tout notre esprit critique.

Un peu comme si Gaumont s'auto-taclait en diffusant ce truc. Un peu comme si Folman crachait sur l'industrie qui lui permet d'être distribué dans des "grandes" salles du groupe Gaumont Pathé. Du coup ça a un certain goût amer de fausse-rébellion contrôlée sous tous les angles mais bon... Ne cherchons pas plus loin.

Ca reste un (très) bon exercice de style imparfait mais qui a le mérite de proposer du relativement neuf, et un peu critique sur la société actuelle (critique de Steve Jobbs, réflexion sur le star-system...)

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Utopia Toulouse, juillet 2013

Terriblement moderne pour son époque. Le protagoniste est remarquable et porte tout le film. Ce héros halluciné fait vraiment des merveilles sur la pellicule quand les autres personnages lui donnent la réplique. Des acolytes ou des faire-valoir, à tour de rôle, pour un film aussi profond que divertissant.

Une forte raison d'aimer le "vieux" cinéma ; et le cinéma tout court.

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Utopia Toulouse, juillet 2013

Ahem. L'originalité, oui, mais avec un minimum de sens, de fond, et pas juste un film de potes, pour potes, avec un esprit punk de papy qui se donne bonne conscience avant de lâcher un dernier soupir. Tout a été dit, il n'y a donc plus rien à dire. On retombe dans les travers de l'écriture automatique des surréalistes. "La fin de l'histoire", sociale et a fortiori cinématographique. "This is the end, my only friend, the end".

Une belle insulte au cinéma, et un beau bras d'honneur à ceux qui le font vivre. Qu'ils soient producteurs ou spectateurs.

Inutile, donc recommandable.

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Utopia Toulouse, juillet 2013

Pouarf. Manque de rythme certain, caricature du "gothique" qui bouffe à tous les rateliers et se contredit lui-même. "Un gothique n'écoute pas Marilyn Manson", alors qu'il écoute du gros metal qui tache. Le pire c'est que sa prof est finalement plus gothique que lui quand elle cite ses références : Joy Division, The Cult.
Idem pour la référence à Sunn O))) comme appartenant au genre "industriel" : apparemment Sunn O))) est sur le CD que lui a gravé une de ses copines "trop ouf gueudin" qui écoute de l'indus, mais pas que, parce qu'il y a "Nemesiah" aussi dessus. Sunn O))) aurait donc changé de nom pour faire de l'indus (mais c'est quand même un extrait de Black One, hein).

Je chipote, mais ces maladresses (le pentagramme avec l'étoile à l'endroit au lieu qu'elle soit à l'envers...) ajoutées à un relatif manque de rythme et une sorte de piétinement dans le constat "les États-Unis jugent mal leurs semblables "anormaux"" rendent fatigant le visionnage.
Et avoir un voisin soupirant nasal n'arrange rien...

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Utopia Toulouse, juillet 2013

1er chapitre : 7/10. Le névropathe est exceptionnel, et le cadrage, la luminosité, le contraste entre les couleurs sont assez délectables. Le fétichisme de la poupée est une très bonne idée qui fait beaucoup réfléchir.
2ème chapitre : 5/10. Cette histoire de traumatisme post-agression est assez banale et chiante. En plus d'être inintéressante, cette partie manque de rythme. Heureusement qu'ils ont choisi une actrice "sexy" pour camper la traumatisée ; ça retient un minimum l'attention faute de mieux...

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Gaumont Wilson, Toulouse

Film inutile, très consensuel (pas de gore), abscons (incohérences, absence d'explications logiques sur les origines du virus), laideur visuelle (effets spéciaux et décors ternes mais pas stylisés pour autant), série B tout en se prenant pour un triple A... Les défauts sont nombreux et l'ensemble est grotesque, comme le jeu de Brad Pitt qui brille par son incapacité à camper un rôle dramatique. Quand il a des rôles de mariole ou d'arrogant ça passe, mais dès qu'il s'agit d'un rôle quasi "sérieux" (faut pas déconner non plus), là y'a plus personne.
Et puis ce trip messianique (Jesus Pitt sauve le monde) sur Israël, entre la conspiration (murs construits depuis 100 ans et terminés juste avant la pandémie) et l'écho d'un lien indéfectible entre Etats-Unis et l'Etat hébreux... Je ne sais pas quoi dire. A mon avis les scénaristes étaient vraiment perdus eux aussi.

Le prix des places dans les gros cinés augmente et les films sont de plus en plus merdiques... Raison de plus pour davantage apprécier Le Congrès, seul rayon de soleil dans un ciel bien gris... Malheureusement vite éclipsé au bout d'une semaine.

Monde de merde !
"Meuh non ! C'est pas au monde de changer ! C'est à toi de t'adapter au monde !"
Merde j'ai raté ma vie ! Ah ouais... J'suis pas un Jesus Pitt :/ Ni le compte en banque ni les meufs, du coup j'ai la haine et j'suis critique, cynique et aigri. CQFD.

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Utopia Toulouse - juillet 2013

J'ai hésite entre 7 et 8 mais sa puissance émotionnelle, à peine contredite par un petit manque de rythme (moins intense qu'Une séparation), reste dans le haut du panier de cette année. Et c'est sans compter le scénario plein de rebondissements.

Je ne regarderai plus Béjo de la même manière... Tout comme les autres acteurs qui sont attachants.

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Utopia Toulouse - juillet 2013

Dans la salle, une moyenne d'âge dépassant allègrement les 50 ans pour un film de quinquas. Entouré de sonores, ce qui donnait un effet 5.1. Côté gauche, un rieur qui s’esclaffait pour toute la salle et s'adressait à sa femme pour paraphraser ce qui se passait à l'écran ("oh elle a vu la voiture !"), et derrière un animal qui poussait des bruits bizarres variant en fonction des situations. Sacrés vieux !

Je pense que Philip Seymour Hoffman a beaucoup joué dans ma note. J'ai trouvé ça globalement assez lent mais passés les premiers affres sentimentaux ça s'est largement accéléré et le film a gagné en intérêt de manière exponentielle, jusqu'au climax où les 4 sont réunis pour leur dernière tous ensemble. J'en aurais presque chialé, donc c'est réussi même si globalement très classique.

La plus-value du film c'est quand même de donner envie de creuser la musique classique et de s'y intéresser pour ressentir les mêmes choses que les personnages.

A noter le petit côté Woody Allen qui m'a pas déplu dans ces portraits de vies déliquescentes ("la vie est un foutoir !").

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Gaumont Wilson, Toulouse - juillet

Gros film de mécas bien neuneu avec des archétypes de partout : les russkofs impassibles, les chintocs en bande... Power Rangers powa. Les jeux de lumières avec les couleurs flashy sont particulièrement réussis et rendent le tout esthétiquement agréable en plus de proposer un spectacle distrayant qui aurait sûrement mérité encore plus d'action pour assumer totalement ce qu'il est : un film d'action beaufasse qui pèche par la vacuité de ses dialogues. Bien dommage qu'il se vautre pourtant dans une espèce d'imbroglio pseudo-psychologisant entre les deux personnages (pour ne pas dire couple) principaux.

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ABC, Toulouse - septembre

Esthétiquement, probablement l'un des plus beaux films de cette année ; à défaut d'être le plus palpitant.

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Gaumont Wilson, Toulouse - septembre

Bonne surprise pour un film dont je n'attendais rien hormis une photo agréable et un tantinet sombrette.
Comédie, action, western... Bon cocktail pas trop gerbant pour un résultat divertissant et pas trop long malgré ses 2h30. A la fois un hommage aux films de genre et un blockbuster formaté selon les codes actuels. Pour caricaturer : Pirate des Caraïbes meets Sergio Leone.