Zygomania

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Un gag verbal ou visuel toutes les vingt secondes pour une comédie policière burlesque de près de deux heures. Une perle de l'humour absurde. Après Big hit et un peu avant Ted, Mark Wahlberg démontre un certain talent pour la comédie, bien aidé par la tête à claques Will Ferrell.

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Un mélange incroyable de séquences d'actions débridées et d'humour absurde et décomplexé. Mark Wahlberg y joue le rôle d'un redoutable tueur à gages, totalement niaiseux et débonnaire dans le civil, incapable de dire non. Face à lui, Lou Diamond Philips excelle dans l'un de ses meilleurs rôles, un tueur psychopathe et gouailleur incroyablement drôle. Un must du genre.

Pour lire ma critique :
http://www.senscritique.com/film/Big_Hit/critique/34393403

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Les deux comparses de Clerk et de Dogma reviennent dans un film délirant. Un périple qui les mènent de leur petit patelin miséreux à Hollywood durant lequel Jay et Bob rencontrent une succession de personnages gratinés. L'occasion de croiser une belle galerie de vedettes se moquant gentiment de leur image dont Ben Affleck, Matt Damon et même Mark Hamill. Les références cinématographiques affluent, Kevin Smith oblige, et l'irrévérence aussi. On voit même Gus Van Sant réaliser de loin un Will Huntig 2 et comptant les billets sur son siège de réal. Bref, un film idéal si on veut se fendre la gueule.

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Un des films de mon enfance. Un buddy movie mettant en présence un flic teigneux et une star du film d'action le prenant pour modèle pour son prochain rôle. L'occasion de rire du statut de la vedette déconnectée du monde réel, du travail de fond de l'acteur, et surtout de la différence entre l'image que la star véhicule et ce qu'elle est réellement. Face à un Michael J.Fox parfait en super-star agaçante, James Woods est irrésistible en flic bad-ass, irascible et impétueux. A noter également que Stephen Lang incarne un bad guy assez flippant, le fameux "videur fou". Une excellente comédie policière.

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Une intrigue segmentée en trois actes dont la seconde partie est un flash-forward de la troisième (mais c'est Pulp fiction ?!). Certes Go empreinte la structure narrative du chef d'oeuvre de Tarantino. Mais le film dresse avant tout le constat d'une jeunesse de fin de millénaire, tour à tour désabusée, délurée, déjantée. Un background grave qui fait pourtant la part belle à l'humour et distille une certaine dose d'optimisme. Une sacrée B.O. à l'appui (No doubt, Massive attack).

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Dans un zoo, les créatures les plus féroces ne sont pas toujours en cage.
Une comédie euphorisante lorgnant sur le vaudeville et réunissant l'essentiel de l'équipe du cultissime "Un poisson nommé Wanda" dont deux ex-Monty Pythons. Moins réussi mais plus irrévérencieux, "Créatures féroces", tout en brocardant les travers du libéralisme sauvage, enchaîne une succession de gags et de quiproquos délirants où John Cleese et Jamie Lee Crutis s'amusent dans un chassé-croisé amoureux irrésistible. Mais je retiens surtout la prestation jubilatoire de Kevin Kine dans un double rôle père-fils de patron crapuleux et d'héritier aux dents longues. La séquence finale mérite à elle-seule le visionnage pour le suspense délirant qu'elle génère.

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Une nouvelle recrue de l'armée est affectée au régiment du sergent Bilko et découvre que ce dernier et ses hommes sont plus des escrocs que d'authentiques soldats. Une avalanche de gags tous plus délirants les uns que les autres.

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Un classique du buddy movie par le réal du premier Beverly Hills Cop. Un chasseur de primes arrête un banquier en cavale recherché par la police et le milieu pour avoir détourné plusieurs millions de dollars de la pègre. Déterminé à le ramener coûte que coûte de l'autre côté du pays, le chasseur de primes va devoir compter avec les fédéraux, la mafia et la gouaille intarissable du fugitif. Une excellente comédie.

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En demandant sa petite amie en mariage, Mick, un commissaire-priseur, va faire connaissance avec la "famille" de celle-ci et surtout avec son père un caïd un rien envahissant. Une avalanche de quiproquos et d'humour noir dans une comédie mafieuse tellement plus réussie qu'un Mafia blues. Hugh Grant a rarement été aussi drôle, surtout lorsqu'il s'invente son alter-ego mafieux Mickey les yeux bleus et son accent italien improbable.

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La suite de Get Shorty accumule les personnages improbables et les situations absurdes. Le protagoniste y délaisse le cinéma pour se lancer dans l'industrie musicale. Un casting exceptionnel et un humour qui fait toujours mouche.

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Un cartoon en images réels, largement influencé par les productions John Hughes et mis en scène par le réal des trois premiers Pirates des Caraïbes. Tendre, cruel, parfois funèbre mais toujours drôle. Un régal, d'autant que Christopher Walken y fait un caméo hilarant en dératiseur dépassé par l'intelligence surnaturelle de sa proie.

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Très irrévérencieux, ce film live donne la vedette à ses scénaristes, les créateurs de South Park. On y retrouve l'esprit de la série et la même inclinaison pour l'humour trash et douteux. On rit de bon coeur devant l'absurdité des règles de ce jeu fictif sobrement nommé Baseketball.

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Je pense que j'ai rarement autant ris que devant la scène du panda. Et rien à faire, à chaque fois que je la regarde, c'est irrésistible je me marre. Mais le film compte de nombreux autres gags hilarants dont cette intro sous forme de fausses bandes-annonces complètement improbables. Ben Stiller est comme souvent très drôle et Robert Downey Jr en acteur de compo jusqu'au-boutiste est génial. Mais c'est surtout la guest surprise grimée en odieux producteur qu'on retiendra. Un bon délire.

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Une critique acerbe du milieu hollywoodien, entre thriller mafieux et comédie. John Travolta y campe un porte-flingue se reconvertissant comme producteur de film. L'occasion de voir comment on monte un film improbable, sur un scénario improbable, avec une star improbable...

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Ce film à sketches inégal gagne à être vu pour le segment de Rodriguez mais surtout pour le segment final réalisé et interprété par Tarantino. Son personnage y tient un long discours s'acheminant vers une chute inattendue. Pas mal de vedettes au casting dont une guest-star de poids dans le sketch de Tarantino. Tim Roth est impeccable en petit groom cupide et maniéré, reliant chaque histoire et en subissant les intrigues à tour de rôle. A voir.

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Une comédie aigre-douce au pitch improbable qui serait pourtant inspiré d'événements réels. Ceci décuple l'absurdité de l'intrigue et offre à Clooney entre autres une nouvelle occasion de se moquer de son image. La scène de transmission télépathique entre son personnage et la chèvre est simplement hilarante.