Bien que j’ai été réellement captivé par la première moitié concernant la Danse des dragons, c’est la déception qui a pointé le bout de son nez à la lecture de la seconde. Je ne m’intéresse pas du tout aux événements liés aux cités libres et encore moins à Alyn Poingdechêne qui je l’escomptait connaîtrais à l’instar des très soûlants chapitres de Brienne dans A feast for crows une fin fulgurante mais je fus désagréablement désappointé arrivé au terme de la leçon d’histoire. De plus, je ne sais si c’est dû à la fugacité du règne de chacun des Targaryens mais les seigneurs environnants m’ont paru immortels et j’en ai assez lu du prénom Aegon, pas moins de trois rois se dénommant ainsi sur deux bouquins. Néanmoins, la cocasserie apportée par Champignon, nain fou du roi délivrant au travers de son Témoignage des anecdotes toujours farfelues, contribue à faire que ce livre ne soit pas un supplice.