le repli joyeux

Les Delerm, père, mère et fils célèbrent depuis plus de 20 ans les petites joies et plaisires du quotidien, souvent qualifiés de minuscules. Ici, il s'agit de souvenir de 88-89, année ou l'auteur fut le plus heureux, entre ses ballades, sa carrière d'écrivain qui débute, sans en supporter encore le poids, et l'éducation de Vincent.

C'est ici la partie qui m'a le plus intéressé en fait, connaissant bien Philippe Delerm et son univers, j'étais séduit dès l'origine. Les quelques mots et pages sur les découvertes de Vincent Delerm posent des souvenirs, que l'on retrouvera dans ses chansons. C'est, du coup, la partie émouvante, mais aussi déterministe et Bourdieusienne du bouquin (si, si, c'est conciliable).