Favoris, c’est le mot
Albert Camus, quel auteur incroyable.
Lorsque j’ai commencé l’histoire, j’ai eu beaucoup de mal à m’adapter à sa façon d’écrire, des phrases courtes, simples et sans émotions ni sentiments. Par la suite, je me suis faite à l’idée que l’Etranger collé plutôt bien et je pense même que c’est lié, le fait d’avoir un personnage (Mersault) qui ne ressent rien, qui ne semble pas comprendre ou bien s’en foutre royalement (même au décès de sa propre mère).
Il est étranger moralement, physiquement et sentimentalement parlant.
Tout éléments est finalement importants sans trop l’être, et c’est ce qui fait le charme de cette histoire
Le passage en prison à la fin de l’histoire, qui lui fait évidement ni chaud ni froid, m’a perturbé. Je trouve qu’une réflexion sur la vie est faite derrières les questions qui lui sont posées, en tout cas c’est une logique à suivre.