sans plus qui devient indigeste au bout de 500 pages

J'ai d'abord apprécié la lecture. Sans être enivrante, cela se lisait agréablement. Les personnages d'Onno et Max me faisaient penser à Lord Henry dans "Le Portrait de Dorian Grey" mais en moins intelligent. Vraiment beaucoup moins intelligent. C'est ce qui gênait au début, bien que j'aime beaucoup ce genre de livre, je trouvais que l'auteur manquait d'intelligence ou de profondeur et que cela ne prenait pas comme cela aurait dû. Mais néanmoins, cela se lisait comme un "6" dirait-on sur sens critique. Mais au bout des deux tiers de ce très gros livre, je suis épuisé. Un livre qui est juste "sans plus" sur les 100 premières pages devient vraiment pénible passé les 500 pages. Je n'ai pas pu aller au bout. Ce que j'ai lu ne valait pas la peine de passer encore plusieurs semaines sur ce pas si mal mais loin d'être intéressant pavé.