Le roman se découpe en deux temps : une description anthropologique, philosophique et sociologique d'un monde sans la mort. On pourrait critiquer la longueur de cette partie. Cependant, la seconde partie du roman est si poétique et si mélodieuse que l'on referme le livre avec un léger frisson mélancolique teinté de larmes. La couverture du roman ressemble à son corps, un papillon qui virevolte et électrise tout sur son passage.

PaulStaes
10
Écrit par

Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes Les meilleurs livres de l'univers. et Livres lus

Créée

le 27 mai 2017

Critique lue 392 fois

Paul Staes

Écrit par

Critique lue 392 fois

D'autres avis sur Les Intermittences de la mort

Les Intermittences de la mort
domguyane
7

Saramago joue avec la mort

Saviez-vous qu'il y a une mort pour chaque pays et pour chaque catégorie de vivant ? Dans le pays de Saramago, celle des hommes cesse de les faire mourir. Entre philosophie et 'pataphysique, il nous...

le 13 nov. 2010

2 j'aime

Les Intermittences de la mort
PaulStaes
10

La définition de la poésie.

Le roman se découpe en deux temps : une description anthropologique, philosophique et sociologique d'un monde sans la mort. On pourrait critiquer la longueur de cette partie. Cependant, la seconde...

le 27 mai 2017

Du même critique

La Tresse
PaulStaes
3

Niaiseries, caricatures et banalités.

Laetitia Colombiani a écrit un livre de magasines féminins bas de gamme, qui ferait presque rougir Amélie Nothomb ou Marc Lévy par sa médiocrité. Pourtant, l'envie était très forte : une publicité...

le 2 juil. 2017

23 j'aime

10

Orgueil et Préjugés
PaulStaes
5

Les aventures niaises et mièvres des petites aristocrates anglaises

Âpre lecteur de classiques en tout genre, admirateur absolu de tous les stylistes et grands romanciers des temps perdus, je m'attaquai à Orgueil et Préjugés avec l'espérance d'un nouveau coup de...

le 21 sept. 2022

17 j'aime

10