le 4 mars 2012
La nuit nous appartient
La vie, la mort : les beaux romans sont souvent les plus simples. Raconter la survie dans le ghetto de Prokov pendant la guerre, c'est écrire l'humanité nue, le froid, la crasse, la faucheuse qui...
SensCritique a changé. On vous dit tout ici.
Critiques
le 4 mars 2012
La vie, la mort : les beaux romans sont souvent les plus simples. Raconter la survie dans le ghetto de Prokov pendant la guerre, c'est écrire l'humanité nue, le froid, la crasse, la faucheuse qui...
le 18 sept. 2012
Les livres de Edgar Hilsenrath se suivent mais ne se ressemblent pas. J'ai commencé avec "Fuck America", roman proche de John Fante, j'ai poursuivi avec "Le nazi et la barbier" roman burlesque sur un...
le 10 févr. 2012
Nuit n'est probablement pas le livre le plus connu d'Edgar Hilsenrath, il n'en demeure pas moins son premier roman, écrit au sortir de la seconde Guerre Mondiale. Ce livre a connu une histoire assez...
le 16 août 2014
J'ai lu ce livre à la suite d'un conseiller fnac. Je savais le sujet dur et froid mais je n'ai jamais été autant bouleversé (de la mauvaise manière) par un livre. Ma note si basse c'est uniquement...
le 28 déc. 2012
Comme dans un cauchemar éveillé, la plume cruelle du survivant Edgar Hilsenrath s’agite, court, créant un conte hyperréaliste et détaché, dur et burlesque, noir et satirique. De ces cinq cents pages...
le 27 juil. 2012
Je termine à l'instant cet immense roman. Et je suis très ému, touché. Une telle expérience (le mot n'est pas trop fort, pour une fois) de lecture est difficile à retranscrire. Un ghetto, quelque...
le 5 nov. 2019
Les qualificatifs se bousculent en moi à la fermeture de ce livre : Œuvre d’art ? Merveille littéraire ? Joyau historique ? Il est difficile de poser des mots sur ces 500 pages qui nous aspirent...
le 8 mai 2013
Il y a des fois des romans qui ne fonctionnent pas. Dans lesquels on ne rentre pas, alors même qu’on devrait. La faute à pas de chance, à l’hiver qui s’éternise, au manque de magnésium (j’essaye de...
le 29 avr. 2013
Ce qui reste de vie dans un ghetto pendant la guerre. hallucinatoire. c'est écrit comme un livre de science fiction, une sorte d'heroic fantasy hyper réaliste et hypnotique.
10
le 5 janv. 2020
Ce roman sidérant, longtemps censuré pour son approche crue du quotidien morbide des ghettos, est un témoin indispensable d’un enfer peu documenté, celui qui précède les rafles vers les camps...
NOUVELLE APP MOBILE.
NOUVELLE EXPÉRIENCE.
Téléchargez l’app SensCritique, explorez, vibrez et partagez vos avis sur vos œuvres préférées.

À proposNotre application mobile Notre extensionAideNous contacterEmploiL'éditoCGUAmazonSOTA
© 2025 SensCritique