Osez, osez Joséphine, plus rien ne s’oppose à la nuit, rien ne justifie.
Chanson magnifique de Bashung !
Combien a dû être difficile d’exprimer avec autant de pudeur, de tendresse et d’amour la folie de sa mère ? A aucun moment, j’ai senti colère, lassitude et refus. Delphine De Vigan me donne une leçon d’ouverture incomparable, sans jamais être « psychologisante » ! Moi, qui connais la vie avec cette déraison ! Je reste anéantie par autant d’intelligence, celle du cœur !
Le travail sur l’écriture lui permet de faire accepter l’indicible et insiste sur le fait que ce roman est un témoignage nécessaire et indispensable.
Quel talent de s’interroger sur le travail d’enquête, de recherche qui accompagne l’écrivain dans l’élaboration de sa fiction, sur les possibles doutes qui l’assaillent et sur la crainte de voir ses amis, sa famille se détacher de lui après lecture !
La part de fiction … Je ne sais pas ! Tellement Lucile et sa famille est réelle dans notre vie !
Surtout à ne pas rater !
matatoune
8
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le 1 avr. 2013

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matatoune

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