Roman mosaïque pour esquisser le portrait d’une femme et d’une Italie changeantes.

Ce premier roman très attachant de l’écrivain Paolo Cognetti, publié un an avant «Le garçon sauvage» en 2012 (après deux recueils de nouvelles non traduits en français), traduit en 2013 par Nathalie Bauer pour les éditions Liana Levi, évoque l’existence de Sofia Muratore sur trois décennies et en dix chapitres composant en dix nouvelles les morceaux épars d’un puzzle ; sa naissance compliquée, comparée par la sage-femme au départ d’un navire pour la guerre, le moment de plénitude de son enfance, sa rébellion contre les déchirements de ses parents et contre elle-même, l’abîme de son adolescence, ses relations amoureuses et ses amitiés, son amour du théâtre, qui la conduira à Rome et enfin à New-York.


La suite sur mon blog ici :
https://charybde2.wordpress.com/2016/07/31/note-de-lecture-sofia-shabille-toujours-en-noir-paolo-cognetti/

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le 31 juil. 2016

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