Je ne suis pas spécialement indifférent à la question de l'amour. Cependant cet essai m'a peu toucher. Je croit comprendre la question centrale. Seulement toutes ces références ne semble pas éclaircir le sujet ni de le faire progresser.
Tous ces romans, tous ces films, toutes ces pièces n'ont fait que surligner des détails que je n'avais pas vu auparavant. Et je n'ai pas comprit les liens qu'il crée avec. Effectivement on peut voir des similitudes entres les références, mais le propos aurait été plus clair en mettant moins en avant les œuvres de fiction, cela au profit de leurs significations. Car tout semble anecdotique. Seul l'incipit, quelques chapitres et l'épilogue sont clair, de mon point de vu.
Je pense que toute la subtilité avec Pacôme Thiellement c'est qu'il s'agit d'un auteur à lire deux fois au minimum lorsqu'il écrit ou parle d’œuvre d'art. Quand t-il théorise sur la bible ou sur la vie en général tout est très limpide. Seulement, ici; les références qu'il exploite sont très spécifique et il faut soit même reconstruire un lien entre vie et art. En comparaison Andreï Tarkovski dans Le temps scellé, réussi d'avantage à faire voir la signification des symboles qu'il évoque.