Andreas, le retour par Misarweth
Faisons de la dissociation, la suite de "No pasaràn, le jeu", sera non du fantastique mais du roman noir (oubliez un peu (seulement) le polar).
Alors oui, c'est la suite, mais beaucoup plus mûre, beaucoup moins de concession, et non le monde n'est pas beau, rose et gentil. Et non la fiction non plus.
Alors, on ne peut plus s'échapper?
Parfois vendu comme un roman dur mais "édifiant" pour les jeunes et surtout pour parler, amorcer une discussion, il ne faut pas rigoler. Oui oui, ça peut, mais ce n'est pas que ça.
C'est aussi un bon roman. On peut le lire séparément, mais pour comprendre les plaies mal cicatrisées des personnages, c'est quand même mieux d'avoir lu "No pasaran le jeu" avant.
Toujours une forte implication politique (dans son sens large, dans l'actualité de nos ressources énergétiques aux relations entre humains, individus et société)