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Selle qui n'étaye plus...
Mon dernier coup de cœur. Descriptions d'une ambiance glauque de banlieue pavillionaire d'île de France dans les années 50 c'est tout ce qu'il me fallait. Ravinel me marquera comme un des meilleurs...
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le 27 mars 2024
Celle qui n'était plus par Alligator
mai 2006
Roman ayant été adapté au cinéma par Clouzot sous le titre Les Diaboliques. Ici, il y a une différence énorme avec le film, c'est que la victime est une femme et pour ceux qui ont vu le film, ils comprennent qu'il y a effectivement un "couple" homosexuel que le cinéma n'a pu ou voulu mettre à l'écran. Le cadre est différent, mais l'on passe son temps à chercher les similitudes et les différences entre l'oeuvre ici originale et l'adaptation, ce qui m'a sérieusement désimpliqué dans ma lecture. C'est dommage. Je ne comprends pas l'enthousiasme de Lucie pour ce genre de démarche. J'ai sans arrêt décollé de l'histoire, sachant dès le départ comment ça finirait. Lecture altérée donc.
En essayant de me détacher de cette histoire, je retiens surtout un style particulier, simple, sans excès, propre à Boileau et à Narcejac. Faudrait que je lise un peu sur ces auteurs, que je sache comment ils écrivaient, leur méthode de collaboration pour avoir une opinion plus concrète. En tant que lecteur, c'est très agréable à suivre et même brillant parfois, tant le suspense parait palpable malgré le fait que je connaissais la fin.
Roman ayant été adapté au cinéma par Clouzot sous le titre Les Diaboliques. Ici, il y a une différence énorme avec le film, c'est que la victime est une femme et pour ceux qui ont vu le film, ils comprennent qu'il y a effectivement un "couple" homosexuel que le cinéma n'a pu ou voulu mettre à l'écran. Le cadre est différent, mais l'on passe son temps à chercher les similitudes et les différences entre l'oeuvre ici originale et l'adaptation, ce qui m'a sérieusement désimpliqué dans ma lecture. C'est dommage. Je ne comprends pas l'enthousiasme de Lucie pour ce genre de démarche. J'ai sans arrêt décollé de l'histoire, sachant dès le départ comment ça finirait. Lecture altérée donc.
En essayant de me détacher de cette histoire, je retiens surtout un style particulier, simple, sans excès, propre à Boileau et à Narcejac. Faudrait que je lise un peu sur ces auteurs, que je sache comment ils écrivaient, leur méthode de collaboration pour avoir une opinion plus concrète. En tant que lecteur, c'est très agréable à suivre et même brillant parfois, tant le suspense parait palpable malgré le fait que je connaissais la fin.
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le 17 nov. 2013
Critique lue 315 fois
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