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Chez soi

2015 • livre de Mona Chollet

Résumé : La maison, le chez-soi : de ce sujet, on a souvent l’impression qu’il n’y a rien à dire. L’espace domestique fait même figure de triangle des Bermudes de la politique : on le perçoit comme un lieu de repli frileux, d’indifférence à la marche du monde, d’abandon sans frein à l’hypnose consumériste, entre la télévision et les gadgets électroménagers. On valorisera plutôt le citoyen concerné, actif, qui voyage, qui descend dans la rue. Pourtant, à une époque où la vie collective semble se déliter, où le travail devient nocif pour un grand nombre de gens, où les formes de l’engagement peinent à se renouveler, le réflexe de rentrer chez soi peut revêtir une portée insoupçonnée. La maison est aussi une base arrière où l’on peut se protéger, refaire ses forces, se souvenir de ses désirs, résister à l’éparpillement et à la dissolution. Dans l’ardeur que l’on met à rêver de l’habitation idéale se réfugie ce qu’il nous reste de vitalité, d’élans, de foi en l’avenir.

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2015 • livre de Mona Chollet

Résumé : La maison, le chez-soi : de ce sujet, on a souvent l’impression qu’il n’y a rien à dire. L’espace domestique fait même figure de triangle des Bermudes de la politique : on le perçoit comme un lieu de repli frileux, d’indifférence à la marche du monde, d’abandon sans frein à l’hypnose consumériste, entre la télévision et les gadgets électroménagers. On valorisera plutôt le citoyen concerné, actif, qui voyage, qui descend dans la rue. Pourtant, à une époque où la vie collective semble se déliter, où le travail devient nocif pour un grand nombre de gens, où les formes de l’engagement peinent à se renouveler, le réflexe de rentrer chez soi peut revêtir une portée insoupçonnée. La maison est aussi une base arrière où l’on peut se protéger, refaire ses forces, se souvenir de ses désirs, résister à l’éparpillement et à la dissolution. Dans l’ardeur que l’on met à rêver de l’habitation idéale se réfugie ce qu’il nous reste de vitalité, d’élans, de foi en l’avenir.

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Résumé : La maison, le chez-soi : de ce sujet, on a souvent l’impression qu’il n’y a rien à dire. L’espace domestique fait même figure de triangle des Bermudes de la politique : on le perçoit comme un lieu de repli frileux, d’indifférence à la marche du monde, d’abandon sans frein à l’hypnose consumériste, entre la télévision et les gadgets électroménagers. On valorisera plutôt le citoyen concerné, actif, qui voyage, qui descend dans la rue. Pourtant, à une époque où la vie collective semble se déliter, où le travail devient nocif pour un grand nombre de gens, où les formes de l’engagement peinent à se renouveler, le réflexe de rentrer chez soi peut revêtir une portée insoupçonnée. La maison est aussi une base arrière où l’on peut se protéger, refaire ses forces, se souvenir de ses désirs, résister à l’éparpillement et à la dissolution. Dans l’ardeur que l’on met à rêver de l’habitation idéale se réfugie ce qu’il nous reste de vitalité, d’élans, de foi en l’avenir.

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Résumé : La maison, le chez-soi : de ce sujet, on a souvent l’impression qu’il n’y a rien à dire. L’espace domestique fait même figure de triangle des Bermudes de la politique : on le perçoit comme un lieu de repli frileux, d’indifférence à la marche du monde, d’abandon sans frein à l’hypnose consumériste, entre la télévision et les gadgets électroménagers. On valorisera plutôt le citoyen concerné, actif, qui voyage, qui descend dans la rue. Pourtant, à une époque où la vie collective semble se déliter, où le travail devient nocif pour un grand nombre de gens, où les formes de l’engagement peinent à se renouveler, le réflexe de rentrer chez soi peut revêtir une portée insoupçonnée. La maison est aussi une base arrière où l’on peut se protéger, refaire ses forces, se souvenir de ses désirs, résister à l’éparpillement et à la dissolution. Dans l’ardeur que l’on met à rêver de l’habitation idéale se réfugie ce qu’il nous reste de vitalité, d’élans, de foi en l’avenir.

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Chez soi

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Résumé : La maison, le chez-soi : de ce sujet, on a souvent l’impression qu’il n’y a rien à dire. L’espace domestique fait même figure de triangle des Bermudes de la politique : on le perçoit comme un lieu de repli frileux, d’indifférence à la marche du monde, d’abandon sans frein à l’hypnose consumériste, entre la télévision et les gadgets électroménagers. On valorisera plutôt le citoyen concerné, actif, qui voyage, qui descend dans la rue. Pourtant, à une époque où la vie collective semble se déliter, où le travail devient nocif pour un grand nombre de gens, où les formes de l’engagement peinent à se renouveler, le réflexe de rentrer chez soi peut revêtir une portée insoupçonnée. La maison est aussi une base arrière où l’on peut se protéger, refaire ses forces, se souvenir de ses désirs, résister à l’éparpillement et à la dissolution. Dans l’ardeur que l’on met à rêver de l’habitation idéale se réfugie ce qu’il nous reste de vitalité, d’élans, de foi en l’avenir.

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Résumé : La maison, le chez-soi : de ce sujet, on a souvent l’impression qu’il n’y a rien à dire. L’espace domestique fait même figure de triangle des Bermudes de la politique : on le perçoit comme un lieu de repli frileux, d’indifférence à la marche du monde, d’abandon sans frein à l’hypnose consumériste, entre la télévision et les gadgets électroménagers. On valorisera plutôt le citoyen concerné, actif, qui voyage, qui descend dans la rue. Pourtant, à une époque où la vie collective semble se déliter, où le travail devient nocif pour un grand nombre de gens, où les formes de l’engagement peinent à se renouveler, le réflexe de rentrer chez soi peut revêtir une portée insoupçonnée. La maison est aussi une base arrière où l’on peut se protéger, refaire ses forces, se souvenir de ses désirs, résister à l’éparpillement et à la dissolution. Dans l’ardeur que l’on met à rêver de l’habitation idéale se réfugie ce qu’il nous reste de vitalité, d’élans, de foi en l’avenir.

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Résumé : La maison, le chez-soi : de ce sujet, on a souvent l’impression qu’il n’y a rien à dire. L’espace domestique fait même figure de triangle des Bermudes de la politique : on le perçoit comme un lieu de repli frileux, d’indifférence à la marche du monde, d’abandon sans frein à l’hypnose consumériste, entre la télévision et les gadgets électroménagers. On valorisera plutôt le citoyen concerné, actif, qui voyage, qui descend dans la rue. Pourtant, à une époque où la vie collective semble se déliter, où le travail devient nocif pour un grand nombre de gens, où les formes de l’engagement peinent à se renouveler, le réflexe de rentrer chez soi peut revêtir une portée insoupçonnée. La maison est aussi une base arrière où l’on peut se protéger, refaire ses forces, se souvenir de ses désirs, résister à l’éparpillement et à la dissolution. Dans l’ardeur que l’on met à rêver de l’habitation idéale se réfugie ce qu’il nous reste de vitalité, d’élans, de foi en l’avenir.

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Raphaellakay

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