Tu as écrit un pavé de plus de mille pages. Je te remercie pour l'amour et la tendresse que tu as distillées dedans. Tu as pris le temps. Tu as imaginé avec douceur et parfois avec douleur les affres encore de l'alcoolisme, de l'adolescence, du combat entre bien et mal. Tu as pris le plaisir de revisiter Lovecraft avec tes lecteurs, et c'était agréable et aussi méphitique que ce que pouvait écrire cet auteur ténébreux.
Je n'ai pas franchement apprecié ce livre, ces personnages, cette histoire. Il manquait une profondeur que tu sais pourtant si bien donner. Mais tu as le courage d'aller au bout de ce que tu veux produire et de ce que tu imagines.
Merci pour tes mots.
La non-reine Leah