le 24 févr. 2024
Puissant
Au début de Dysphoria Mundi, Preciado nous rappelle combien nous sommes cernés par une épistémologie binaire. La dysphorie de genre par lequel on le catégorise n'est rien d'autre que la marque du...
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« Utilise ta dysphorie comme plateforme révolutionnaire »
Le monde, l’identité, la frontière.. sont en mutation, en transformation, « out of joint ». La pensée de Preciado, unique et nourrie de références de Butler, Deleuze, Guattari, Foucault et beaucoup d’autres, capture bien cet état mondial et redonne l’espoir, en te faisant sentir à ta place (parmi les mutant.es de système).
En même temps, le texte m’a semblé assez répétitif, tombant parfois (et paradoxalement) dans l’individualisme et l’eurocentrisme. Co-habitant avec le côté théorique, ceci est un journal personnel de la pandémie et on sent la satisfaction de l’auteur à l’idée de faire partie de l’histoire des transformations épidémiques..
Créée
le 17 juil. 2024
Critique lue 16 fois
le 24 févr. 2024
Au début de Dysphoria Mundi, Preciado nous rappelle combien nous sommes cernés par une épistémologie binaire. La dysphorie de genre par lequel on le catégorise n'est rien d'autre que la marque du...
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