Deux heures d'otium. Bonne lecture

«Cette course incessante évite à l'homme de s'interroger sur lui-même. Le voici devenu littéralement superficiel, c'est à dire à la surface de lui-même". 

À découvrir!

Dans ce court essai de 110 pages pleines d’intelligence et de douceur, l'auteur convoque celles de grands philosophes ou religieux des temps anciens et modernes penser l'action pour l’action face à l'acte gratuit, l’agir comme mode de vie face au temps accordé à la culture ou à la réflexion car si le negotium envahit la vie de l’homme jusqu’à supprimer l’otium, "si tout se monnaie et que rien n'est gratuit, je suis tenté de supprimer politesse et courtoisie, puisque celles-ci ne sont pas rentables ni objets de bilans comptables."

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