Pour une fois, il faut souligner que la seconde partie est plus intéressante que la première. Tout le passage du personnage dans la capitale — son ascension politique, la corruption, les usages de cour — est particulièrement pertinent pour comprendre la culture et les pratiques de l’époque en Chine. Sa mort, ainsi que celle de nombreux autres personnages, illustre bien la fameuse impermanence prônée par les philosophes chinois, tout en montrant à quel point la place de la femme était dérisoire sans le soutien d’un mari puissant. En revanche, le proverbe "quand le chat n’est pas là, les souris dansent" semble, lui, d’une constance absolue.