Taschen, Taschen...

Toujours le même problème avec les éditions Taschen, il faut se méfier. Ces livres sont empreints d'un certain amateurisme (attention, je fais pas du mépris!), et c'est relativement problématique lorsqu'on aborde une oeuvre ou un-e artiste pour la première fois.
C'était ma première approche vraiment concrète de l'artiste et j'avoue être restée sur ma faim. Je pense que le ressort critique de l'oeuvre de Keith Haring aurait pu être davantage approfondi. Le format de ce livre n'est pas satisfaisant, les éditions Taschen ont su par la suite remédier à ces problèmes mais ici, le format est vraiment trop petit, les paragraphes sont écrasés au milieu d’œuvres. Celles-ci sont, cependant, représentées de manière plutôt agréable, c'est sûrement là que repose l'un des plus gros bons points du livre.