Ces deux courtes romances du Japon féodal sont affreuses pour les mœurs décrites et ses morales (en particulier la pédophilie normalisée de Gengobei), mais plutôt intéressantes pour le reste. Le style est assez particulier, avec des parenthèses intéressantes pour expliquer des détails de la vie des personnages (la vidange des puits dans Le Tonnelier par exemple) ainsi que des petites ellipses étranges et parfois des incohérences.
Les histoires sont courtes (une petite cinquantaine de page chacune) et illustrées.
Peu de choses à en dire du reste, ces deux histoires sont tirées du recueil Cinq Amoureuses. J'ai aimé les lire mais sans que cela me donne particulièrement envie de découvrir les trois autres nouvelles.