Dans son ouvrage magistral mêlant fiction romanesque et introspection extériorisé sur le monde, Justine Bieber réussit à nous emporter dans le tourbillon de strass et de paillettes qui le porta au nu.

Mais on ne saurait réduire cette oeuvre à un déchiffrage acharné de la quête d'un succès critique et de l'appréciation des mélomanes. Car ce brillant descendant de Victor Hugo qu'est Justin, que dis-je celui qui aurait put être le mentor de notre romantique engagé nous narre, sous son regard de braise, un monde sans pitié avec les hermaphrodites, un monde où les fans se déchirent pour les corps prépubères de divas émincées, rôties aux projecteurs.

Ce faisant, il s'impose comme maître à penser sur le phénomène des castras - officiellement interdits de nos jours - et nous laisse pantelant, au bord de la crise de nerf avec une seule envie : se faire un brushing.
Le-bloguscribe
1
Écrit par

Créée

le 26 janv. 2011

Modifiée

le 14 mars 2014

Critique lue 1.9K fois

163 j'aime

28 commentaires

Le-bloguscribe

Écrit par

Critique lue 1.9K fois

163
28

D'autres avis sur Justin Bieber, mon histoire : De mon premier pas vers l'éternité

Du même critique

Brice de Nice
Le-bloguscribe
1

Cassééééé! Mais TA GUEULE OSEF!

Un film qui réussit à cumuler toutes les tares: - mal joué, - moche graphiquement, - mal joué - pas drôle, - mais vraiment pas drôle - titre de m**** - titre imprononcable (le dit-on à...

le 18 nov. 2010

42 j'aime

11

Fallout 2
Le-bloguscribe
9

War. War never changes

Il me faut refaire cette critique. Refaire cette critique pour crier mon amour immodéré de Fallout. Fallout, c'est plus qu'un jeu, c'est plus qu'un univers, ce sont des personnages. Tours à tours...

le 29 déc. 2011

36 j'aime

15

La Grammaire est une chanson douce
Le-bloguscribe
10

Sans ce livre, je ne serai sûrement pas ce que je suis..

Il faut revenir en arrière. A cette fin d'école primaire où un petit garçon, un peu perdu, aimait lire. Sans trop savoir pourquoi. En se noyant dans les histoires pour oublier qu'il était un peu à...

le 18 déc. 2010

21 j'aime

8