le 12 août 2017
Assassin's creed light
Le premier tome avait déjà pas mal de longueurs mais étant donné qu'il devait mettre en place un univers ça passait. Pour ce deuxième opus l'intrigue stagne, la situation est à peu de choses près la...
Peut être mon tome préféré de l'ensemble du cycle de l'Assassin royal (dans le découpage français du cycle il s'entend). Suite directe du premier tome, on retrouve Fitz exactement là où on l'avait laissé, diminué par les épreuves dans le royaume des montagnes, à douter de sa capacité à rester un assassin compétent pour les Loinvoyants.
Ce tome se déroule quasiment exclusivement à Castelcerf, plus précisément au sein de la royale forteresse, riche en complots et discussions feutrées au détours des couloirs. Notre héros quitte l'enfance, devient un adulte et commence à nourrir des désirs et pensées politiques qui lui sont propres. De simple outil malléable, il devient un pion parfois rétif, cherchant constamment à saisir les implications dissimulées de ses missions. Et malmené par ses émois.
La force de ce tome, au delà de la montée en puissance de l'Art, du Vif, de l'apparition d'Oeil de nuit et de la montée en puissance du personnage du Fou, réside dans le glissement de loyauté de Fitz. Homme lige du Roi, dévoué corps et âmes à Vérité, doutant de son maitre Umbre le laissant macérer dans son jus... L'intrigue est diffuse, la toile se tisse et ne révèlera son architecture que dans le dernier tome de cette première partie "La Nef du Crépuscule".
Au niveau du style, la traduction de Arnaud Mousnier-Lompré est savoureuse, ressuscitant des tournures et un vocable moyenâgeux jamais déroutant, participant pleinement à la force de l'univers déployé par Robin Hobb. Un plaisir en tant que tel.
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Créée
le 22 févr. 2012
Critique lue 1.4K fois
le 12 août 2017
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