On m'avait parlé des éditions Gallmeister, petite maison d'éditions, qui publie des ouvrages sur l'Amérique dans tous ses aspects (nature, Américain(e)s, mentalités) et je dois dire que je ne suis pas déçu par ma lecture. Un ouvrage de moins de 200 pages qui se dévore comme un tueur en série mange ses victimes. L'histoire est très bien ficelée, l'atmosphère finit par devenir totalement immorale et le roman se termine par une manière totalement inattendue.
Un seul bémol, la manière dont l'histoire se déroule dans le(s) temps.
J'ai été déçu par le manque d’interactions entre Geoffrey et son braqueur tout au long du récit.
Même si je n'ai eu qu'un petit aperçu des éditions Gallmeister à travers L'enfer de Church Street, je sais que j'y reviendrais rien que pour que mon imaginaire m'offre des images de ces grands espaces que mes yeux n'ont pas pu toucher ici ayant choisi un ouvrage de la collection NEONOIR.
Cordialement