Robert Antelme raconte sa vie de déporté. D'abord dans le camps de Gandersheim, puis la marche de la mort, pour finir à Dashau. Il raconte comment lui et les autres copains souffraient de la fin, de la fatigue, du froid, de maladies jusqu'à l'extrême limite. Il raconte comment ces corps réduits à souffrir, chier et tenir, étaient et sont toujours rattachés à l'espèce humaine, espèce partagée par les bourreaux et les victimes. Tous des hommes.
Créée
le 11 juil. 2022
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J'ai hésité à rédiger maintenant, plus tard ou jamais mon expérience de ce livre. Tout de suite, parce que la sensation immédiate des livres brutaux, se dissipe et se raisonne avec le temps. Il faut...
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le 2 juil. 2014
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Puisqu'aucun langage ne pourra jamais raconter l'atrocité d'un génocide, d'un camp de concentration, Robert Antelme a choisi de façon très subtile et distillée, l'humour. Cet humour salvateur...
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le 15 déc. 2023
1 j'aime
Encore un livre, bien sûr, impossible à noter, puisqu'il s'agit du récit des longs mois que passa Antelme dans le camp de concentration de Gandersheim, avant la libération à Dachau à la fin du...
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le 10 juin 2023
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Nostromo est un personnage tout d'abord anecdotique dans ce livre. Puis il prend de l'importance quand l'histoire prend un tournant: elle glisse d'un livre qui conte l'histoire des révolutions d'un...
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le 11 févr. 2022
2 j'aime
"Construire un feu" raconte le froid. "Perdu la face" relate le formidable pied-de-nez que fait un chercheur d'or avant de mourir à un grand chef indien. A l'inverse, la très frustrante nouvelle "le...
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le 21 avr. 2021
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" le seigneur des porcheries" raconte comment un gosse d'une petite ville ravagée par la pauvreté, l'alcool la consanguinité le chauvinisme racisme etc.... Grandit et se fait repoussé injustement par...
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le 14 août 2021
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