Un émoji de « L’homme qui pleure de rire » en guise de titre pour le nouveau roman de Frédéric Beigbeder qui est mon grand écart littéraire de ce début d’année.
Je ne goutais pas vraiment sa chronique le jeudi en fin de matinale sur France Inter. J’ai entendu, de loin, sa dernière avant son licenciement. C’était une improvisation sans talent pour meubler trois minutes de radio. Entendu, vite oublié !
Dans « L’homme qui pleure », Octave Paringot, le double de l’auteur, explique comment il a voulu s’aborder sa chronique : il n’en pouvait plus de la tyrannie du rire et du sarcasme permanent sur cette onde. De son licenciement, il en fait un départ volontaire en racontant heure par heure la nuit qui l’a précédè. Et quelle nuit ! Son errance dans les bars et les boites de nuit du 8ème arrondissement croise les émeutiers en révolte contre les forces de l’ordre, le jour de l’incendie à l’Arc de Triomphe.
« L’homme qui pleure de rire « dénonce le monde de l’humour et sa puissance médiatique lorsqu’on la confronte au politique. Il démontre combien le mélange peut desservir la démocratie. A France Inter, l’analyse sur cette hégémonie est savoureuse.
La suite ici
https://vagabondageautourdesoi.com/2020/02/12/lhomme-qui-pleure-de-rire-frederic-beigbeder/