le 22 oct. 2025
Une déception douce-amère
Haewon quitte Séoul, épuisée par un quotidien sans saveur, pour revenir dans le village de montagne où elle a grandi. Là, elle retrouve Eun-Seop, un ancien camarade devenu libraire, dont la présence...
Quand j’ai commencé la lecture du livre, L’odeur des clémentines grillées de Lee Do-Woo, je m’attendais à un roman doux, peut-être un peu lent, mais réconfortant. Il l’est, à sa manière. Pourtant, certaines choses m’ont étonnée — et peut-être qu’elles vous surprendront aussi. Si vous aimez les histoires feutrées, les hivers silencieux et les cœurs cabossés, suivez-moi.
Haewon rentre chez sa tante qui l’a élevée après avoir démissionné de son poste d’enseignante. Après que son bus l’ait déposée, elle tire sa valise pour arriver à sa destination, lorsqu’elle aperçoit une nouvelle boutique, la librairie Goodnight. Certes, elle connaissait la maison, mais ignorait qu’elle était devenue une librairie. Et elle n’est pas au bout de ses surprises.
J’ai trouvé l’intrigue assez plate, sans doute parce que les rebondissements sont annoncés longtemps à l’avance. À vrai dire, si vous aimez les intrigues solides, ce n’est peut-être pas le livre qu’il vous faut ; en effet, le roman se concentre surtout sur les relations entre les personnages, relations favorisées par le lieu d’échange que constitue la librairie.
Créée
le 10 juil. 2025
Critique lue 34 fois
le 22 oct. 2025
Haewon quitte Séoul, épuisée par un quotidien sans saveur, pour revenir dans le village de montagne où elle a grandi. Là, elle retrouve Eun-Seop, un ancien camarade devenu libraire, dont la présence...
le 10 juil. 2025
Quand j’ai commencé la lecture du livre, L’odeur des clémentines grillées de Lee Do-Woo, je m’attendais à un roman doux, peut-être un peu lent, mais réconfortant. Il l’est, à sa manière. Pourtant,...
le 22 août 2025
Je vous parle aujourd’hui de L’homme qui lisait des livres de Rachid Benzine, un court roman qui évoque la Palestine et la puissance des mots pour survivre au chaos. Entre Gaza et les grandes voix...
le 18 juin 2025
« Mon vrai nom est Elizabeth » est un récit bouleversant qui mêle enquête intime et mémoire familiale. J’ai été profondément marquée par la justesse de la narration et la manière dont le livre...
le 1 mars 2024
Nul doute que Kochan, un garçon frêle et chétif, renvoie à Yukio Mishima lui-même. Il a écrit ce livre à 24 ans. Il en a fallu du courage pour laisser tomber le masque et publier ce roman dans le...
NOUVELLE APP MOBILE.
NOUVELLE EXPÉRIENCE.
Téléchargez l’app SensCritique, explorez, vibrez et partagez vos avis sur vos œuvres préférées.

À proposNotre application mobile Notre extensionAideNous contacterEmploiL'éditoCGUAmazonSOTA
© 2025 SensCritique