Label bêbête
Mon premier Thierry Jonquet, et probablement le dernier. Ce court récit pèche d'abord par son format bâtard : trop long pour une nouvelle, trop court pour un roman. On a donc des personnages...
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le 19 mars 2024
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Mon premier Thierry Jonquet, et probablement le dernier. Ce court récit pèche d'abord par son format bâtard : trop long pour une nouvelle, trop court pour un roman. On a donc des personnages stéréotyés (d'ailleurs, ils s'appellent "l'Emmerdeur", "le Coupable", etc.), et une lecture bigrement ennuyeuse compte-tenu qu'il ne se passe rien et qu'on ne nous présente qu'un long flashback. Le tout complaisamment "noir", c'est-à-dire assez ridicule dans l'outrance la plupart du temps. Quand enfin quelque chose se dénoue, dans les 5 dernières pages, c'est encore pire. Spoiler à suivre pour celles et ceux qui n'auraient pas la patience d'aller jusqu'au bout :
Oh, originalité folle, le personnage féminin qu'on supposait mort depuis le début ne l'était pas. Et, oh, comble d'audace scénaristique, Léon n'est pas le clodo qu'on croyait mais... un chien. Ce qui, par parenthèse, ne marche pas vraiment, car à ma connaissance, les chiens, lorsqu'ils dînent au restaurant (ce qui est déjà rare) ne commandent pas de vin. Bref. C'est non seulement invraisemblable mais mal ficelé, et 2 cadavres nous restant sur les bras, au lecteur de conclure. Déception.
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le 19 mars 2024
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Mon premier Thierry Jonquet, et probablement le dernier. Ce court récit pèche d'abord par son format bâtard : trop long pour une nouvelle, trop court pour un roman. On a donc des personnages...
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le 19 mars 2024
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