SensCritique a changé. On vous dit tout ici.

Le produit vend du rêve. Il me faut pas beaucoup plus que du sphinx verdâtre sur ciel nocturne pour me faire lire un livre. Et puis le traducteur ayant bonne réputation...
Bon bé c'est une brève, qui contient le désespoir, la cruauté et la nuit pétersbourgeoise d'autres Dostoïevski, l'incompatibilité au monde. Et puis qui saute dans un bizarre Thomas More interstellaire. Lisez-le, ça dure 50 pages. Ou lisez un Dostoïevski + majeur et achetez une affiche de Kupka...
Rasp
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le 16 juil. 2013

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