La première nouvelle - qui donne son titre au livre - est vraiment cool, étonnamment cool, mais le reste, mon Dieu, pauvre Boris, c'est lamentable.
J'ai toujours eu honte de pas aimer Vian, légèrement comme on ose pas dire qu'on est raciste ou qu'on aime pas le vin rouge et un moment, j'ai cru que c'était réglé, cette première nouvelle avait vraiment la classe, un espèce de soldat, absurde et désabusé errant dans une guerre si loin de lui.
Mais non, dès après c'était fini, pour finir.
Tristesse Boris, tristesse !