Les pleurs du mâle
je m’enferme souvent dans ces toilettes où la lumière s’allume automatiquement et colore ma peau du même jaune que ces types au foie défectueux dehors ces hommes que j’appelle collègues se...
Par
le 25 avr. 2013
31 j'aime
6
Toujours difficile de retranscrire de la poésie d'une langue différente.
Mais ici ce qui me plaît ce sont les thèmes exploités : à travers la guerre, l'alcool, les femmes, son ancien amour Jane, la musique classique, les jeux d'argent... l'auteur nous montre toutes ces dépravations et pourquoi il a besoin d'écrire ces poésies.
Dans un style plus que familier il nous fait voguer sur tous ces thèmes au gré de ses envies. Parfois on boit la tasse, car on juge et on se demande comment on peut se complaire dans ce qu'il aime. Puis on se révolte comme lui contre les malheurs présents dans ce monde. Et souvent surnageant, un grand sourire nous apparaît et on continue à lire ce recueil.
Je me suis bien amusé à le lire, on ne s'ennuie jamais ici et je vous le conseille.
Créée
le 28 mai 2018
Critique lue 211 fois
D'autres avis sur Les jours s'en vont comme des chevaux sauvages dans les collines
je m’enferme souvent dans ces toilettes où la lumière s’allume automatiquement et colore ma peau du même jaune que ces types au foie défectueux dehors ces hommes que j’appelle collègues se...
Par
le 25 avr. 2013
31 j'aime
6
Poésie 1. 2ème partie ici :https://www.senscritique.com/livre/Fight_Club/critique/256827565 La chaleur entrait par les persiennes Et diffusait une vapeur collante Dans le grand open space L'odeur...
Par
le 9 oct. 2020
8 j'aime
10
J'ai souvent eu envie de lire autre chose que la prose de Buk. Et bien c'est raté. Puisque ici les vers sont rares et que même lorsqu'il se mue en poète, l'homme écrit en prose. Décidément ... Plus...
Par
le 17 mai 2012
3 j'aime
3
Du même critique
L'auteur nous emmène ici dans différents pays d'Afrique. Il a voyagé à l'intérieur de ce continent pendant plus de 40 ans et nous brosse un portrait de différentes facettes de différentes...
Par
le 29 mai 2018
3 j'aime
Jean Giono est un de mes auteurs préféré (je ne serais donc pas totalement objectif) et ce qui m'amusait dans la découverte de ce roman, c'était, en quelque sorte, de retrouver l'ambiance que l'on...
Par
le 28 mai 2018
3 j'aime
Un très bon livre nous permettant de découvrir trois populations d'Amérique du Sud, regroupé sous le terme de Jivaro. Ici ce n'est pas une analyse anthropologique que met en place Philippe Descola...
Par
le 28 mai 2018
3 j'aime
4