LÉGER SPOILS DANS CETTE CRITIQUE.
Nous revoilà en route vers la tour sombre après un peu plus d'un an. Mais ne trainons pas, nous n'avons fait que la première partie du voyage et nous retrouvons nos héros dans un étrange village.
L'histoire commence au moment où nos héros sont trouvés par un villageois qui a vraiment besoin d'aide. En effet, son village se fait attaquer tous les 20 ans et dans un mois arrivera la date fatidique. Le village de la Calla Bryn Sturgis se trouvant sur leur route, ils décident de les aider et d'enquêter sur leur quête, mais de nombreux secrets les entourent, tapis dans l'ombre.
Sur une base qui rappelle "Les sept samouraïs" d'Akira Kurosawa et bien sur le remake de John Sturges "Les sept mercenaires", plus proche de l'ambiance de la tour sombre, Stephen King propose plus une version, à mon sens, plus réussie et impactante de Magie et Cristal, le tome précédent. Un village avec toutes sortes d'habitants, de la magie et l'ombre d'un complot aux yeux de tous et pourtant, sous leurs yeux, on reste sur un terrain connu... en substance. Car ici, notre monde et celui du Pistolero se mélangent bien plus que d'habitude, avec notamment la venue d'un personnage étant apparu dans Salem's Lot qui pointera le bout de son nez et dont le flashback sera un des plus grands moments de la saga.
Les héros seront en proie aux doutes entre leur devoir et leur trouble intérieur. Que cela soit Jake qui va devoir faire un choix entre son ami et la mission de son ka-tet ou encore Susannah Dean qui sera en proie à un élément précédemment introduit dans le tome 3 refera surface dans sa psyché ou encore La treizième noire qui repointera le bout de son nez après avoir disparu depuis plusieurs décennies de la vie de Roland.
Comme Magie et Cristal, le côté huis clos de ce tome peut avoir des longueurs interminables et a également des personnages dont on sait qu'on ne les reverra plus jamais, mais cette fois-ci, ils sont bien plus intéressants et chacun apportera quelque chose à la vie de nos protagonistes. Que cela soit Rosetta ou encore Wayne Dale Overholster, le riche fermier, ils sont tous marquant à leur manière et feront quelque chose ou agiront d'une telle manière qui fera qu'on les garde en tête malgré leur présence secondaire. Raconter leur fonction reviendrait à spoiler et je choisis donc de vous parler du plus insolite d'entre eux : Andy.
C'est un robot mystérieux de type Asimov, plus vieux encore que le village lui-même, qui se trouve là pour d'obscures raisons et dont le numéro de code est DNF-44821-V-63. Cet être artificiel synthétise non seulement le tome, mais aussi l'univers de La Tour Sombre. Mystérieux, étrange, futuriste et old-school à la fois, sans parler de son aura mélancolique dont de nombreux secrets, alors cachés par des mots de passe, resteront à jamais une énigme.
Il n'y a pas que ce village qui est marquant, mais aussi ces lieux comme la grotte de la porte, lieu menant vers d'autres dimensions, mais aussi endroit maudit où les fantômes du passé viendront hanter tous ceux qui y pénètreront et qui dit autre dimension dit Vaadasch et c'est également le début d'une quête qui uniront les Pistoleros et Calvin Tower dont ces derniers devront le protégé du Roi Cramoisi, le mal incarné jouant sur plusieurs plans d'existences, ainsi que de ses nombreux sbires dont certains apparaitront dans différentes œuvres de King comme "Cœurs perdu en Atlantide" ou "Insomnie".
En d'autres termes, c'est un tome, certes avec des longueurs, mais qui permet à cette saga de prendre une tout autre dimension et c'est bien peu de le dire, croyez-moi.
Ils sont tous marquant à leur manière et feront quelque chose ou agiront d'une telle manière qui fera qu'on les garde en tête malgré leur présence secondaire. Vous racontez leur fonction reviendrait à spoiler et je choisis donc de vous parler du plus insolite d'entre eux : Andy. C'est un robot mystérieux de type Asimov, plus vieux encore que le village lui-même qui se trouve là pour d'obscures raisons et dont le numéro de code est le DNF-44821-V-63. Cet être artificiel synthétise non seulement le tome, mais aussi l'univers de La Tour Sombre. Mystérieux, étrange, futuriste et old-school à la fois, sans parler de son aura mélancolique dont de nombreux secrets, alors cachés par des mots de passe, resteront à jamais une énigme.
Il n'y à pas que ce village qui est marquant, mais aussi ces lieux comme la grotte de la porte, lieu menant vers d'autres dimension mais aussi endroit maudit où les fantômes du passé viendront hanté tout ceux qui y pénètreront et qui dit autre dimension dit Vaadasch et c'est également le début d'une quête qui unirons les Pistolero et Calvin Tower dont ces derniers devront le protégé du Roi Cramoisi, le mal incarné jouant sur plusieurs plans d'existences, ainsi que de ses nombreux sbires dont certains apparaitront dans différentes œuvres de King comme "Cœurs perdu en Atlantide" ou "Insomnie".
En d'autres termes, c'est un tome, certes avec des longueurs, mais qui permet à cette saga de prendre une toute autre dimension et c'est bien peu de le dire, croyez moi.
Come-Come-Commala
Un homme aussi connu que le Christ arrive.
Comme-commala
Deux ombres se battent, 'faudra rester sur le qui vive.
Come-Come-Commala
Deux roi, deux Ka, deux destins.
Come-Come-Commala
La roue blanc et rouge du Ka tourne, c'est le début de la fin.
Critique suivante : https://www.senscritique.com/livre/le_chant_de_susannah_la_tour_sombre_tome_6/critique/206410843