Le première poème détonne un peu, voire semble déceptif quand on ouvre un recueil de poésie : des frites alors que le titre porte sur les ronces ? De quoi ce recueil va-t-il donc nous parler ?
Et puis, on se laisse très vite saisir finalement par cette poésie du quotidien, touchante, intime et profonde, souvent marquée par la nostalgie de l’enfance et du pays natal dont les traces laissées par les ronces ne sont certainement qu’une autre appellation. Dans une langue très simple dont la rythmique est particulièrement travaillée par des vers libres d’une grande finesse, on ne peut que se dire que c’est beau : une réussite !
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Créée
le 6 août 2025
Critique lue 2 fois
Je découvre la plume de Cécile Coulon avec ce recueil qui m'a été offert de façon inattendue car jusqu'à présent je ne connaissais pas l'auteure et je lis très peu - vraiment très peu - de...
Par
le 1 févr. 2019
3 j'aime
Comment écrire sur Cécile Coulon ? La première fois que j’entends parler d’elle, c’est Anouk qui prononce son nom. Anouk c’est l’amie de la découverte du cinéma. J’ai une confiance aveugle en...
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le 27 nov. 2020
1 j'aime
Le première poème détonne un peu, voire semble déceptif quand on ouvre un recueil de poésie : des frites alors que le titre porte sur les ronces ? De quoi ce recueil va-t-il donc nous parler ? Et...
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le 6 août 2025
J’ai bien trop tardé à le lire mais quelle claque ! Une narration fine, un héros en révélant un autre en creux : on aime et on écrit à nouveau !
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le 16 août 2025
Quand on ouvre le livre et qu'on apprend que la fillette va mourir, on pense à "une chanson douce" de Leïla Slimani et à un certain déjà-vu. En réalité... raté ! Ce n'est pas exactement le même...
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le 9 août 2025
Ah la narration toujours aussi fabuleuse de Wes Anderson que j’adore ! Court-métrage sympa, loufoque à sa manière mais sans doute moins abouti que certains de ses autres films. Un bon moment passé en...
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le 6 août 2025
