50 ans au fil de l'eau
Le cinéma de Podalydes est toujours bercé d'une certaine légéreté, tinté d'un côté saugrenu qui rendent les films et ses personnages attachants, comme un doux moment d'ivresse, où l'on ne fait pas...
le 1 juil. 2015
2 j'aime
Ce qui surprend tout de suite avec le premier recueil d’Olivier Brossard est son titre, Let, mot qui fait référence au tennis, mais qui résonne à double sens dans sa traduction de l’anglais. Let est un nom qui désigne l’immobilisation, l’arrêt après une faute dans le cas du tennis. À l’inverse, le verbe let incite à l’écoulement, à la continuation, comme dans cette interjection que je me lance à moi-même pour me motiver « let’s go ! ». Ce livre se construit alors dans ce double mouvement. On trouve dans ce livre surtout un rapport à l’échange que l’auteur semble avoir toujours connu dans toutes ses activités professionnelles et artistiques.
À suivre sur : https://laviesansprincipe.wordpress.com/2024/05/14/let-olivier-brossard/
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste ma bibliothèque
Créée
le 14 mai 2024
Critique lue 7 fois
Du même critique
Le cinéma de Podalydes est toujours bercé d'une certaine légéreté, tinté d'un côté saugrenu qui rendent les films et ses personnages attachants, comme un doux moment d'ivresse, où l'on ne fait pas...
le 1 juil. 2015
2 j'aime
Lire les Journaux indiens de Ginsberg c'est lire un livre, pas comme les autres. Sans doute parce que ces journaux n'étaient pas destinés à la publication, ce qui change un certain nombre de points...
le 9 févr. 2014
2 j'aime
Plutôt qu’un long et indigeste essai sur l’histoire de l’Antiquité, ce livre nous propose 49 petites histoires, parfaites pour être picorées en appréciant ce que cela nous (ré)apprend. L’autrice...
le 18 nov. 2023
1 j'aime