Essais mous

Salut Henry. Je n’avais encore rien lu de toi. Tes romans semblent aimés, notamment par des gars nés dans les années 1950 et qui ont eu une caution non mainstream à leur attitude dégueue avec les femmes. Mais là tu parles comme les écrivains de télé, tu parles et ne dis rien, sur les bibliothèques, sur la lecture, sur les cabinets, tu te la pètes au max et après avoir parcouru ces quelques pages en zigzag j’ai l’impression d’avoir lu un édito creux de la presse française actuelle, contrairement aux belles pages de Walter Benjamin, Umberto Eco et même Calaferte sur des sujets connexes. Du coup je me sens lésé. Rend les 2 euros Henry!