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Même pas mort : et même qu'on en redemande et même que ce n'est que le début ! Début d'une trilogie fantasy signée par l'immense le redoutable l'irremplaçable Jaworski autant dire : la garantie d'un verbe HQ, d'une langue enlevée, leste, riche et colorée, un pur plaisir pour les cerveaux molestés de mollesse et de pauvreté dans le vocabulaire entendu ou pratiqué au quotidien. Du kiff linguistique quoi. Quant à l'histoire, bah, elle suit son cours. Les décors et l'atmosphère d'une société celte, brutale, pluvieuse, un peu bêtasse sont très bien rendus. Le scénario sans être une révolution est tout à fait correct et est servi par des personnages bien modelés et intéressants malgré leur côté un peu crétin (en même temps, ça renforce la crédibilité haha). Mais ce texte, surtout ! C'est que du bon à recommander sans réticence aucune.
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Créée
le 16 sept. 2015
Critique lue 274 fois
Même pas mort
le 15 juil. 2013
La force de Jaworski est de mêler habilement historique et romanesque. Même pas mort est un roman très bien documenté, mais dont la fonction première est de vous happer dans un univers littéraire...
Même pas mort
9
le 8 août 2013
Tout d’abord j’ai adoré découvrir la culture Celte, autrement que par les histoires classiques issus du moyen-âge. Et autrement aussi que par les « clichés » romains sur les gaulois. C’est clairement...
Même pas mort
le 19 juil. 2015
Il est temps, je crois, qu'au seuil de Chasse royale, je me retourne et honore la promesse de critique que j'ai faite. J'ai beaucoup d'admiration pour Gagner la guerre. J'aime même son ventre mou...
Le Génie lesbien
le 31 oct. 2020
Ouuh les fourmis du militantisme quand tu lis ce texte ! Ses défauts d'abord : je trouve que la construction, surtout vers la fin, pêche un peu. Son côté fourre-tout m'a un peu décontenancée et je...
Les Raisins de la colère
le 20 oct. 2013
Je reste là et je ne sais pas quoi dire. J'ai fini le livre tout à l'heure et je reste là, je ne sais pas quoi dire. Si j'aime autant Steinbeck c'est peut être parce que son écriture est très humble...
Ravage
le 16 janv. 2013
J'aurais aimé mettre une note plus importante pour rendre hommage à deux supers scènes : la première, la descente de l'escalier infernal avec perdition dans le parking immense (et porte ouverte sur...
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