le 7 mai 2022
Memento
Parmi ses plus grandes influences, Donald E. Westlake citait Dashiell Hammett et Vladimir Nabokov. Deux références majeures et inépuisables pour un nombre croissant d'écrivains ou de lecteurs bien...
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Une seule critique sur ce livre, alors j'en propose une autre.
Si ma note diffère autant de celle de la critique précédente, c'est parce que les points négatifs mis en avant par cette dernière m'ont sans doute davantage dérangé.
Mais d'abord les points positifs : roman agréable à lire, et qui soulève de vraies questions existentielles. Le texte a le mérite de soulever des interrogations, sans pour autant apporter des réponses.
Concernant les aspects négatifs, c'est avant tout la naïveté du héros (Paul) qui m'a agacée : même si sa condition est précaire, on ne peut pas dire qu'il mette toutes les chances de son côté... Je me suis retrouvé plusieurs fois à me dire "mais qu'il est con !". Je me demandais s'il avait subi une "simple" perte de mémoire ou s'il était redevenu un enfant de 3 ans (ce qui semble se confirmer quand il trouve une copine pour occuper ses soirées, le coquin). Alors pour faire gonfler les ventes de post-it y'a du monde, mais pour entamer de VRAIES démarches curatives c'est pas la même histoire, et à force ça en devient frustrant.
En résumé, et comme dit dans la critique précédente, on ressort de cette lecture avec un goût d'inachevé, l'impression que l'auteur a touché du doigt quelque chose d'intéressant sans parvenir à créer une émulation autour de ça. C'est vraiment dommage... Et puis franchement, quel boulet ce Paul !
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Créée
le 1 mai 2015
Critique lue 237 fois
le 7 mai 2022
Parmi ses plus grandes influences, Donald E. Westlake citait Dashiell Hammett et Vladimir Nabokov. Deux références majeures et inépuisables pour un nombre croissant d'écrivains ou de lecteurs bien...
le 25 juil. 2014
Apparemment je suis le premier à lire ce livre (aucune note encore) donc evidemment je me fends d'une petite critique. Le roman est très agréable à lire, sans qu'il soit pour autant excessivement...
le 1 mai 2015
Une seule critique sur ce livre, alors j'en propose une autre. Si ma note diffère autant de celle de la critique précédente, c'est parce que les points négatifs mis en avant par cette dernière m'ont...
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