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Pereira retrouve goût à la vie en disant non à toutes les absurdités du régime autoritaire de Salazar, une chouette leçon de vie (de résurrection, même) formidablement narrée dans le style tout en subtilité de feu Tabucchi.
Reste cet énigmatique "Pereira Prétend", scandé du début à la fin du roman, écho d'un rapport de police ? ou de la voix du héros, qui n'a rien accompli de ce qui nous est décrit ?
Une ode à la haine des brutes.
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le 29 févr. 2016
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