l'auteur aime Mozart, Beethoven, Rousseau, Kurosawa, et deteste les miltaro+-facho et les gens qui les suivent aveuglément, comme les pousserait à le faire la culture japonaise.
Tout le monde sera d'accord.
Mais l’écriture est lourde et ampoulée, on est dans une caricature d'ouvrage de sociologie avec des phrases compliquées pour des idées simples. La critique de la société japonaise me semble en particulier pas approfondie. Il ne parle pas du bouddhisme et peu des différents aspects de la culture japonaise.