Useless, bitch!
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Quelques semaines après avoir lu Dieu, Shakespeare et moi, je me plonge dans ce bouquin-là de Woody Allen sauf que cette fois je sais à peu près à quel ton m'attendre.
Et hélas pour moi celui-ci a une structure plus répétitive qui le rend encore plus infect. Je n'ai rien contre l'humour absurde mais par écrit comme ça je trouve ça soûlant. Pas mal écrit ou profondément idiot, mais soûlant.
C'était tout de même une expérience intéressante parce que je me suis rendu compte que ce qui me plait dans l'écriture de Woody Allen, c'est quand il la met au service de son image, et donc dans ses films. Là sous cette forme, c'est une suite de blagues qui ne m'ont pas fait rire, de jeu de mots à peu près bien trouvés et de phrases incohérentes construites ainsi uniquement pour le plaisir de faire des phrases incohérentes.
Créée
le 24 mars 2025
Critique lue 12 fois
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