Bien-être, recul et communication

Par fragments courts, ces pensées nous livrent comme autant de recettes sur les manières, le plus souvent simples, d'acquérir le bonheur, et de le conserver. Présentées par ordre chronologique, elles semblent néanmoins suivre un plan ternaire, que voici.

Le bonheur n'est pas inné, mais il reste à portée de main. Si les désagréments sont quotidiens, une bonne part d'entre eux a une source physiologique ; prendre soin de soi permet d'évacuer toute une série de tracas. Par la suite, l'esprit est davantage disposé à traiter les problème avec sérénité.

Le deuxième tiers du problème consiste à prendre le recul nécessaire, pour replacer les contraintes dans leur contexte, pour les analyser au mieux, ou mieux les ignorer quand elles s'avèrent mineures

Enfin, savoir communiquer son respect, transmettre ses arts et manières d'être heureux constitue une nécessité, dans le cadre d'un bien-être collectif.

En guise de morale, rien ne semble indépassable ou irréversible ; et souvent le bon sens permet de se tirer de faux pas et de désagréments. Il reconnaît passer lui-même pour un optimiste impénitent, mais ses menus conseils sont beaucoup moins anodins qu'ils n'y paraissent.
Ce quasi-manuel de philosophie pratique est aussi utile qu'agréable et simple d'emploi. Je l'ai refermé enrichi et heureux de cette découverte.