le 16 oct. 2015
Le mal aimé
Londres, 1471. L'Angleterre est malade et subit de nombreux conflits internes opposant les deux principales familles anglaises de l'époque : d'un côté la maison York, de l'autre celle de Lancastre...
SensCritique a changé. On vous dit tout ici.
On retrouve dans ce Richard 3 les thèmes classiques et les "tics" d'écriture du dramaturge anglais à savoir les conspirations, la jalousie, le meurtre, les spectres et autres prédictions funestes. On avance en terrain conquis, la beauté du langage opère toujours, mais il est difficile d'y trouver autant de passion et d'énergie que dans Macbeth, Othello ou Hamlet.
Il y a peut-être un peu de lassitude de ma part ou bien un peu de réserve sur le trop grand nombre de personnages aux affiliations pas toujours limpides à assimiler, qui joue aussi certainement sur la dissociation de ces personnages et de l'affect qui ne se crée pas aussi bien que dans d'autres œuvres du maître. Il y a aussi ces personnages féminins qui changent d'avis en quelques lignes de dialogue alors que leur interlocuteur a assassiné plusieurs membres de leur famille récemment... certes on est au théâtre mais quand même, je trouve cela choquant.
Et le rythme me paraît moins bon.
Mais encore une fois malgré ces défauts et un petit sentiment de déception, l'ensemble reste de bel aloi, toujours plaisant à lire et toujours efficace.
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Créée
le 18 nov. 2019
Critique lue 147 fois
le 16 oct. 2015
Londres, 1471. L'Angleterre est malade et subit de nombreux conflits internes opposant les deux principales familles anglaises de l'époque : d'un côté la maison York, de l'autre celle de Lancastre...
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