Critiques de Une saison en enfer

le 4 déc. 2020

Prométhée en simili

A-t-on le droit de rappeler que l’histoire d’Arthur Rimbaud poète commence par de longues années d’études classiques et de travail acharné ? Il connaissait et maitrisait ce qu’il voulait renverser...

le 16 avr. 2012

« Un soir, j'ai assis la Beauté sur mes genoux. - Et je l'ai trouvée amère. »

Quand les sens se mêlent aux mots, la poésie devient réelle. Et quand l'intimité spirituelle touche les vers, la poésie devient loyale. C'est sous la plume de Rimbaud que naît la sincérité des...

le 6 oct. 2010

Critique de Une saison en enfer par ShadowPuppet

" cortège de Souvenirs, de Regrets, de Spasmes, de Peurs, d'Angoisses, de Cauchemards, de Colères et de Névroses " cette phrase que j'ai moi même tiré du Spleen de Paris de Baudelaire ( source...

le 26 juin 2010

Critique de Une saison en enfer par binnie

J'ai lu « Une saison en enfer » à 14 ans, pour terminer mon cycle rimbaldien (je voulais tout lire de cet auteur avant d'entrer au lycée, question d'emo-cred.) Mais blague à part, à l'époque, mon...

le 26 avr. 2011

Critique de Une saison en enfer par Osi

Les oeuvres de RImbaud sont très particulières. Elles parlent aux sens et non à l'intellect, et il faut donc être très ouvert et laisser place à son imagination en ouvrant ses recueils de poèmes...

le 10 juin 2018

Une fièvre autodestructrice arborescente

Première approche avec ce livre : je ne l'ai pas ressenti. J'étais dans ma chambre. Je n'étais pas encore allé en Enfer. Deuxième approche : je l'ai lu en même temps que Léo Ferré le racontait (ou...

le 22 oct. 2015

Critique de Une saison en enfer par Gwen21

"Une saison en enfer" est un long poème aux accents d'oraison funèbre, au mysticisme halluciné et aux saveurs soufrées. Rimbaud, le "poète maudit" de la Bohème, exprime ici une profonde désespérance...

le 22 déc. 2011

Critique de Une saison en enfer par Tryste Oil Hugo

Et s'il ne devait en rester qu'un, ce serait celui-là.

le 4 août 2015

Je suis maître en fantasmagories...

"Jadis, si je me souviens bien, ma vie était un festin où s'ouvraient tous les cœurs, où tous les vins coulaient. Un soir, j'ai assis la Beauté sur mes genoux. - Et je l'ai trouvée amère. - Et je...