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le 10 sept. 2013
Retour vers le futur IV
Si les 200 premières pages savent happer le lecteur avec cette histoire de voyage temporel et de conséquences par effet "papillon", un grand creux de vague, rempli de niaiseries, de bons sentiments...
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... après vous pouvez pleurer :
(Traduit approximativement en Français)
Street Spirit est notre chanson la plus pure, mais je ne l'ai pas écrite…. Elle s'est écrite toute seule. Nous n'étions que ses messagers… Ses catalyseurs biologiques. Son noyau est un mystère complet pour moi… et (pause) vous savez, je n'essaierais jamais d'écrire quelque chose d'aussi désespéré… Toutes nos chansons les plus tristes ont quelque part en elles au moins une lueur de résolution… 'Street Spirit' n'a pas d'issue… C'est le tunnel sombre sans la lumière au bout. Il représente toute émotion tragique qui est si blessante que le son de cette mélodie est sa seule définition. Nous avons tous un moyen de gérer cette chanson ... Ça s'appelle le détachement ... Surtout moi ... Je détache mon radar émotionnel de cette chanson, ou alors je ne pourrais pas la jouer ... Je craquerais. Je m'effondrerais sur scène ... c'est pourquoi ses paroles ne sont qu'un tas de mini-histoires ou d'images visuelles, par opposition à une explication cohérente de sa signification ... J'ai utilisé des images mises en musique et je pensais transmettre l'intégralité émotionnelle des paroles et de la musique qui travaillent ensemble… C'est ce que l'on entend par «toutes ces choses ne font qu'un pour avaler le tout». Je voulais dire l'intégralité émotionnelle, parce que je n'avais pas en moi la force d'articuler l'émotion… (pause) Je craquerais …. Nos fans sont plus courageux que moi de laisser cette chanson les pénétrer, ou peut-être qu'ils ne réalisent pas ce qu'ils écoutent ... Ils ne réalisent pas que "Street Spirit" consiste à regarder le putain de diable droit dans les yeux ... et sachant, quoi que vous fassiez, il aura le dernier rire… et c'est réel… et vrai. Le diable aura vraiment le dernier mot dans tous les cas sans exception, et si je me laisse penser à ça trop longtemps, je craquerais. Je ne peux pas croire que nous ayons des fans qui peuvent faire face émotionnellement à cette chanson… C'est pourquoi je suis convaincu qu'ils ne savent pas de quoi il s'agit. C'est pourquoi nous la jouons vers la fin de nos sets. Cela me vide et ça me secoue, et ça fait mal comme l'enfer chaque fois que je la joue, regardant des milliers de gens applaudir et sourire, inconscients de la tragédie de sa signification, comme quand vous allez faire abattre votre chien et c'est remuant c'est la queue sur le chemin. Voilà à quoi ils ressemblent tous, et ça me brise le cœur.
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste Les meilleurs morceaux de tous les temps
Créée
le 1 juil. 2020
Critique lue 600 fois
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le 10 sept. 2013
Si les 200 premières pages savent happer le lecteur avec cette histoire de voyage temporel et de conséquences par effet "papillon", un grand creux de vague, rempli de niaiseries, de bons sentiments...
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le 28 févr. 2012
Après un premier épisode catastrophique, au rythme d'une énigme idiote toutes les 7 secondes, et résolues au bout de 8, le deuxieme épisode pose un peu les choses, et arrive à développer une enquête...
Sleep (Murray Ostril: "... They Don't Sleep Anymore on the Beach..." / Monheim / Broken Windows, Locks of Love Pt. III. / 3rd Pa
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le 31 mars 2012
It was Coney Island, they called Coney Island the playground of the world. There was no place like it, in the whole world, like Coney Island when I was a youngster. No place in the world like it,...
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