Difficile de parler de Docteur Who, une série iconique en Angleterre, la plus longue série de SF de tous les temps, donc tout le monde en a forcément entendu parlé !
Moi-même j’ai découvert la série avec le 1er épisode sur les Weeping Angels, qu’une amie anglais m’avait montré lorsqu’on était au lycée ! J’avais été plutôt enthousiaste, mais je n’avais jamais regardé plus en avant !
Elle a commencé à être diffusée en 1963, a duré pendant 23 saisons puis a été abandonné avant d’être reprise en 2005 et d’être toujours en cours.
Pour résumer l’ensemble en quelques mots, l’histoire raconte celle du Docteur, le dernier maître du temps de l’univers. Grâce au Tardis (Time And Relative Dimension In Space ou Temps A Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale en français) une cabine téléphonique bleue, il voyage dans le temps et l’espace. Il se caractérise par trois choses : il a la poisse, à chaque fois qu’il atterrit quelque part, il tombe sur un phénomène qui risque de détruire la Terre, l’Histoire, l’Univers, etc ; il a souvent un compagnon humain qu’il met à chaque fois mortellement en danger et emmène partout ; s’il meurt, il peut se régénérer, il change alors d’apparence physique et parfois un peu de mentalité et de caractère.
Je n’ai pas du tout vu les anciens épisodes, d’ailleurs certains ont été définitivement perdus. En revanche, j’ai plongé dans les saisons à partir de 2005 et si les premiers épisodes montrent des effets spéciaux un peu vieillot, je me suis vite laissée prendre au jeu. J’ai adoré le fait que chaque épisode soit indépendant, mais que les personnages soient récurrents (comme la mère de Rose par exemple, qui paraît au début inutile et casse-pied et qui finalement prend de l’ampleur, jusqu’à devenir un personnage plutôt important sur l’ensemble de la saison et encore plus tard!)
J’ai bien aimé les acolytes du docteur, chacun avec leurs caractères. Comme pour les docteurs, il faut s’habituer à chaque nouvelle saison, mais c’est plutôt cool. Certains épisodes posent des questions assez importantes et sont parfois assez durs dans les choix imposés aux personnages.