(...) DAREDEVIL amène un vrai vent de fraîcheur aux films (séries) de super-héros en abordant un aspect des comics un peu oublié, celui de la violence. Parce que oui, ici les méchants saignent (beaucoup) mais le justicier masqué en prend également pour son grade, échappant de justesse à une mort prématurée plusieurs fois tout au long de cette saison. Ce pas que Marvel n’avait jamais osé franchir dans ses films Disney amène de la contenance et du réalisme à une série non pas parfaite, mais dont les petits défauts sont vite oubliés – je pense notamment à une scène de course poursuite d’une voiture où les acrobaties de Matthew semblent lui faire perdre plus de temps qu’il n’en gagne. Les scènes de combats (plutôt rares pour ce genre de série) sont parfaitement chorégraphiées, tout en finesse, oubliant les ralentis et autres artifices beaucoup trop superficiels, tendance ces dernières années (...)
critiqe par LOÏC - l'intégralité, sur Le Blog du Cinéma