J'ai lu Fondation il y a 30 ans donc je m'épargnerai le jeu des comparaisons avec l'œuvre originale d'Asimov, tant cette série prend certes des libertés (oui il se peut qu'il y ai des femmes et des noirs dans le futur) tout en cherchant à en respecter l'esprit soit l'ampleur politique et le gigantisme de son univers, sautant carrément d'une époque à l'autre et nous perdant un peu au passage. Visuellement c'est une splendeur, même si son caractère un poil trop théorique et hiératique fait qu'on en vient à admirer le projet tout en ayant parfois un peu de mal à vraiment s'attacher aux personnage.