Un animé pour otaku ? Quelle cliché ! Genshiken raconte la passion d'un club ouvert sur tous les œuvres de la japanimation, du manga, des jeux vidéos et bien d'autre thème récurrents de l'animé. De plus, les divers culture de la japanimation comme les animés, des mangas, des doujin, du hentai, du cosplay, des jeux vidéos, du eroge, du yaoi (BL), du yuri (...etc) sont bien mis en avant car l'histoire montre le fameux stereotype du genre "otaku". C'est ce que l'animé Genshiken arrive à transcrire.
Je m'explique en détail. J'ai fort l'impression que la vision du terme "otaku" est un peu "extrème" dans l'anime/manga, surtout lorsque Saki vient tout extrapolé du soi-disant "Otaku degeulasse. Le moment qui m'a fait énormément réfléchir est la situation dans lequel le terme "otaku" est donné de façon illusoire à tout va. Je me suis souvent interrogé etrangement si ma vie se résout comme à cette animé car dans le fond, cette animé porte un regard sur la manière comment est représenté un otaku ou les gens passionné de la japanimation dans la propre réalité.
Néanmoins, ce mode de vie que "l'otaku" (met en scène) prouve que cela peut avoir un mode de vie qui ne diffère pas d'un individu lambda sans passion.
Pour ce qui est de la critique du scenario, la saison a un début très lent, mou avec aucune ambiance au début de la première saison (manque d'OST, de musique de fond). On arrive a manger une entrée fade, sans gout pour ce tapé le meilleur dessert au dernier saison. Le gros bémol qu'on nous a caché par des flashbacks et la romance avec Sasahara et Ogiue ce qui me dégoute un peu. Evidemment, cela fait un trou dans l'œuvre et la continuité de l'œuvre et bien sur, pour connaitre cette scene émouvante entre ce couple, il faudra lire le manga. M'enfin le gros point positive de l'animé est l'arrivée de nouveau membre donc plus l'anime va loin dans son scenario, plus il est appréciable.
J'ai passé un bon moment.