Bon je m'étais promis de cesser ou du moins ralentir les critiques négative préférant me focalisé sur le positif, encore faut-il choisir quel positif ai-je envie d'argumenter en profondeur. Mais l'algorithme Youtube étant de pire en pire a chaque mise a jour il c'est dis que me jeter en pâture l'antithèse de ma personne serais pertinent, et tel le jeu du trompe-couillon j'ai frapper le chapeau. Cependant j'ai surtout eu envie de m'attarder sur un élément précis de ce méprisant donc méprisable free huggeur.
Je vais quand même développé au minimum de ce que je pense de sa chaine:
- C'est de la commentation de scénario et de sa cohérence type Nostalgia Critic ou CinemaSins donc le niveau -400 de l'analyse ciné, ce qui reviendrais a analysé un livre sur sa police d'écriture ou un jeux vidéo sur sa technique pure.
- Les PNG du garçon censé illustré ses émotions et habillé la vidéo sont une repompe flagrante des avatars de la chaîne Trash, a la pose prêt, donc l'originalité c'est noyé dans la camargue et il y a une raison pour laquelle ses avatars était dessiné c'est parce que grimacé en dans les 4 même images fixe a le pouvoir d'invoquer le malaise.
- L'humour basé sur "l'angry review" encore une fois repris du Nostalgia Critic est plus que daté vu comment tout le monde a repris les mêmes mimique et le même genre de gag de surréaction, on anticipe déjà la vanne ou l'analyse niveau "ta grand-mère la cinéphage sur le canapé" dés qu'on voit un extrait du film, la ou un JDG a su digérer son influence avec le temps et proposé un humour noir et absurde venant de source réellement drôle (Francois Pérusse, les Zaz, Monty Python, le cartoon a la Looney Tunes).
- Je sais que sur Youtube il faut parfois ce construire des personnages qui donneront une identité a la chaine notamment sur celle qui font de l'animation type C'est Pas Mal ou Niti Blake mais le mec adipeux au cheveux gras dans un kigurumi gluant de Pikachu, il y a une raison pour laquelle on ne les voit qu'en Japan Expo quand ils ne sont pas a 2 mètres de nos sœurs.
- Être politisé c'est normal, quand ca se voit que l'objectif est de bien montrer qu'on est safe et déconstruit jusqu’à l'absurde c'est risible, quand ca te fait dire des conneries insultante pour l'intelligence dans tes commentaires de films la ca deviens difficilement pardonnable: dans sa critique de Mutafukaz (c'était mon chapeau dans l'attrape-couillon) il ce plaint avec agressivité que le film est pro-arme, comprenez de droite violente, parce que le film montre des gangs de quartier chaud en Amérique régler leur comptes avec des armes a feux [ESPACE DANS LA CRITIQUE POUR VOUS LAISSEZ RIGOLER UN BON COUP], dans la même vidéo il accusera le studio d'animation 4°C (pardon, les """"dessinateurs"""") d'être d'immondes machos, sexiste, misogyne, donc de droite rétrograde, parce qu'il y a peu de femmes dans le film et qu'une petite scène s'attarde sur une danse sexualisé d'une femme en bikini, déjà encore une fois la bêtise pour croire qu'écrire un film majoritairement masculin est suffisant pour vouloir retirer le droit de votes au femmes, mais un animateur sur un projet comme celui-ci ce contente juste de respecter les character design qu'on lui donne, il semblerait que l'un des """"dessinateurs"""" incriminé n'ai pas été identifié, par contre le character designer on le connais c'est Shojiro Nishimi qui co-réalise le film en plus de l'avoir story-boardé, donc un moralisateur intègre si ça existe dirais que Nishimi est un immonde macho, manque de pot ca demande de connaitre un minimum comment marche la conception d'un film d'animation et comme il ne sais que commenter sans être bon a sa seul tâche.
Bon le constat général c'est un sacré pastis même simplifié au maximum, et j'aborde juste maintenant la raison pour laquelle je lui rentre dedans.
Dans sa vidéo la plus populaire dédié au film Le Magasin des Suicides il est tout fier de commencer son intro avec le texte suivante:
Après m'être moqué d'un film d'animation relativement obscure mais apprécié d'un publique de niche (en parlant de Mutafukaz), je vais copié collé la phrase précédente.
Puis il montre le thread du youtubeur Le Puits Animé, une chaine de BIEN meilleur qualité dédié a l'animation, ou chaque jour il mettait en lumière un film peu connu, pour le remercier de lui avoir jeter ce film en pâture.
Il est content, il a pas de culture et il est content, son premier réflexe quand une œuvre a une portée restreinte est de lui chier dessus et il est content, il détourne un youtubeur passionné qui profite de son influence pour mettre de la lumière sur des films obscure qui mérite votre attention et il est content.
Pour moi cet pensée, cet intro et la méthode derrière est a vomir, c'est une honte et ca en dis beaucoup sur lui. Parler de cinéma uniquement via la cohérence et la logique du scénario, quand il ne fantasme pas les opinions politique du staff, il ne m'en fallait pas plus pour comprendre que c'était un énième ignare qui aime comme tout le monde regarder des films mais qui n'a pas compris qu'il ne comprenait rien a ce qu'il avait sous les yeux même pour une critique négative. Mais ici on a affaire a une personne fier de sa propre inculture, élitiste car vide de connaissances.
Attention car j'en vois venir certain et je le mets en gras, ce n'est pas grave de ne pas être un spécialiste d'un domaine que l'on apprécie, le but c'est de pas faire son Antoine Goya (qui est devenu une caricature de lui-même) et interdire des gens de parler de cinéma parce qu'avant de voir tel film faut que t'es analysé, compris, et revu 100 fois la filmographie de tel clampin, ce n'est pas mon propos c'est tout l'inverse.
Je suis pour le partage de connaissance et l'accessibilité, je pense que même si il y a des films plus difficile d’accès que d'autre il est facile de les comprendre avec de la préparation, prenez un mec qui ce gave de production Netflix oubliable dés leur crédit de fin et balancer le dans la filmographie d'un Shin'ya Tsukamoto, évidemment qu'il va rejeter en bloc le cinéaste fou furieux expérimental underground, le truc c'est de rendre ce cinéma accessible via le dialogue, l'explication du style, les influences, comment ce cinéaste a influencé le cinéma de son pays etc, pourquoi on engage des historiens du cinéma dans certaines séances spéciale pour détaillé le film qui va être projeté a votre avis ?
C'est ce que je fait avec des amis sur le Tokusatsu et l'animation japonaise des année 60-80, ou ce que d'autre ami font avec moi pour m'initié au cinéma d'horreur vraiment hardcore, ou a la musique type métal industriel ou dance-punk, c'est pas accessible dans l'absolu mais avec du dialogue et de la bonne foi c'est faisable.
Donc c'est quoi l'excuse de Monsieur Lionel Bernhardt pour osé moqué des films dont leur seul crime est l'indépendance et imposé une tyrannie de la visibilité ? N'aurait le droit au respect et a l'existence uniquement ceux qui ont la chance d'être née sous la bonne étoile d'un gros studio/distributeur/réalisateur, ne ce contenter que de blockbusters et chasser l'indépendant, ce réjouir lorsqu'un film peu connu a la malchance de croiser son regard car il va pouvoir rire de sa modestie, modestie qui permet au film de ce permettre des choix de réalisation, de narration et une patte d'auteur qui serais impossible dans les gros studios sans bataillé mais qu'il jugera comme un défaut trop habitué aux codes et au lissage des grosse productions.
Ne pas être calé en cinéma et regarder uniquement des grosse sorties ou des grosse licences Amen, je le reproche pas a des amis car on a chacun un centre d’intérêt on accorde du temps a ce qu'on peut et pas tout le monde a le temps, le budget ou les connaissances pour ce dédié a l'art du cinéma c'est normal, moi j'me dédie au cinéma, au jeu vidéo et a la BD et je suis une brêle en musique et en roman pour ce qui est de l'analyse ou des connaissances. Par contre les petite sorties, celle qui sont diffusé en festival, dans des cinéma art et essais, ceux qui ont besoins de financement participatif, c'est non seulement la partie du cinéma la plus libre en terme de pure création mais c'est surtout la majorité silencieuse du secteur. Un cinéma art et essais quand il fait une programmation il permet a de plus petit films d'exister et de trouver leur public la ou les gros multiplexe programme surtout les grosse sorties qui vont ramené le grand public je ne vous apprend rien. Lionel lui ce péterais la bidoche de rire devant le programme de mon cinéma de quartier, de nouveaux films a moquer chaque semaine incroyable, et bah laissons le rire.
Aussi pathétique méprisante et irritant qu'il sois, la découverte constante et la curiosité qu'elle suscite et bien plus belle et stimulante que les moqueries d'un élitiste sans connaissances.